Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (IMtheRookie) :
IMtheRookie
(à propos de Après Mai)
“ Après Mai tourne à vide. On y est plutôt pas mal, mais rien ne résonne, rien ne rayonne. Surprise-party à thème. ”
— IMtheRookie
3 septembre 2012
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IMtheRookie
(à propos de Après Mai)
“ Après Mai tourne à vide. On y est plutôt pas mal, mais rien ne résonne, rien ne rayonne. Surprise-party à thème. ”
— IMtheRookie
3 septembre 2012
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Captain_Zissou
(à propos de Après Mai)
“ Égoiste comme un jeune adolescent, Assayas fait un film pour lui et ses souvenirs. Merci de penser à nous la prochaine fois. ”
— Captain_Zissou
19 novembre 2012
Guillaume Saurrel
India Menuez
Jeanne Candel
Sylvain Jacques
Luc Bricault
Clément Métayer
Félix Armand
André Marcon
Carole Combes
India Salvor Menuez
Hugo Conzelmann
Mathias Renou
Léa Rougeron
Nathan Rodrigue
Laurent Ramacciotti
Alain Gluckstein
Jean-François Ragot
Lionel Dray
Dolores Chaplin
Adrien Lamande
Johnny Flynn
Paul Spera
Félix de Givry
Jean Garreau
Louise Chennevière
Louis Dunbar
Maxime Jullia
Jean-Christophe Quenon
Yannick Abiven
Jonathan Danny
Colin Deleau
Noël Nahon
Manuel Mazaudier
Calypso Valois
Roman Kolinka
Blanche Cluzet
Marco di Giorgo
Anna Gaia Marchioro
Frederico Manfredi
Francesco Formichetti
Denis Perus
Elizabeth Mazev
Louis Donval
Patrick Bordes
Sylvain Savard
Rodney Recor
Joe Flynn
Il s'agit de la manière dont est montrée la manif au début :
1) Elle est filmée de manière extrêmement cheap, on n'y croit pas une seconde.
2) Elle est, dans son contenu, extrêmement violente. Des flics sont montrés en train de tabasser des gamins au sol ou en passant à moto.
Or on ne suivra jamais le destin de ceux qui prennent les coups. Le film se place du côté de l'insouciance, de ceux qui parviennent à s'échapper et conservent leurs idéaux foireux consistant à jouer à la révolution le temps d'un été. Commencer le film là dessus et enchainer avec une citation de Pascal insistant sur la fragilité de la vie (à moins que ce soit dans le sens inverse, j'ai un doute), me pose un problème.
S'il s'agit de faire un film sur la jeunesse et l'insouciance, pourquoi tenter ainsi de légitimer artificiellement les actes de ces jeunes imbéciles qui deviendront bien assez tôt des vieux cons ? Je fais le parallèle avec Hors-la-loi qui s'ouvrait de la même manière sur une action policière violente et explicitement injuste. Mais Bouchareb prend ensuite acte du sérieux dans lequel il plonge ainsi son film. Chez Assayas, cette séquence d'ouverture n'est qu'une carte joker pathétique. Derrière rien n'est bien grave, mais qu'est-ce que c'est honteux...