q Bien
Camille Claudel 1915
(2011)
un film de
Bien q
Satisfaction communauté 52%
Camille Claudel 1915 Bande-annonce

Camille Claudel 1915

(2011)
un film de
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  • 52%
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Micro-critique star (DickAutoMe) :
DickAutoMe
(à propos de Camille Claudel 1915)
Sa note :
Camille Claudel 1915 “ Quelques plans tétanisants de beauté, une Binoche habitée mais une digression sur Paul Claudel indigeste. Radical mais inégal. ” — DickAutoMe 14 février 2013
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  • cath44
    (à propos de Camille Claudel 1915)
    Sa note :
    Camille Claudel 1915 “ Camille C. ou l’insondable douleur d’une amante répudiée. Dans la suspension du temps, visages de la folie et déchirure de deux âmes sœurs. ” — cath44 25 août 2015
    3 commentaires
    • cath44
      commentaire modéré Je n’étais pas allée voir ce film à sa sortie, peut-être par crainte de m’ennuyer, d’une approche trop conceptuelle de ce personnage qui m’avait tant fascinée avec Adjani. Par méconnaissance aussi de ce réalisateur. Je ne regrette pas l’avoir vu sur Arte hier soir, malgré son austérité, j’ai été touchée. Emue par tous ces visages de la folie, par cette grâce étrange malgré les stigmates qui en émanent. Des personnes à l’humanité si vulnérable. Bien sûr l’hôpital psy n’est plus l’asile et les méthodes de soin ont évolué . Ces visages immobiles portent les traces de la solitude terrible de l’enfermement intérieur qu’est la maladie mentale. J. Binoche est bouleversante quand elle passe des larmes au rire, de la détresse sombre à la luminosité, son visage nu de tout maquillage se transforme totalement. La scène où elle assiste à la pièce de Don Juan et où l’on devine que surgit de nouveau son obsession persécutrice pour Rodin est magnifique, tout comme la tentative des 2 autres patientes pour la consoler. Pour en revenir à Camille et à l’attente de son frère, une attente concrète et celle de la libération qui ne viendra jamais, j’ai pensé à 2 âmes sœurs qui se sont à jamais séparées, trop éloignées l’une de l’autre. Sans doute rivaux dans le génie, ils sont si éloignés l’un de l’autre dans leurs convictions et choix réciproques Il m’a semblé que chacun à sa manière est enfermée dans sa folie : l’une, clinique dans la paranoïa , l’autre mystique dans celle d’une foi intransigeante.
      25 août 2015 Voir la discussion...
    • torukmato
      commentaire modéré Merci Arte.
      25 août 2015 Voir la discussion...
    • Scronchh
      commentaire modéré C'est le moins bon film de Dumont je trouve ^^
      28 août 2015 Voir la discussion...
  • Kikuchiyo
    (à propos de Camille Claudel 1915)
    Sa note :
    Camille Claudel 1915 “ L’âpreté du style de Dumont laisse la place à l'expressivité d'une Binoche impressionnante. Quand elle sort du champ, c'est moins bien... ” — Kikuchiyo 21 février 2013
    3 commentaires
    • Frenchblues
      commentaire modéré C'est drôle car j'aurais dit totalement le contraire. Je trouve les scènes sans Binoche plus réussies: on touche alors à un certain naturalisme à la Pialat. Les scènes avec Binoche sonnent plus artificielles, écrites. De toute façon c'est un film déséquilibré.
      17 mars 2013 Voir la discussion...
    • JoanFont
      commentaire modéré un film sans musique et mieux qu'un film sans parole ( réfèrence à the artist )
      8 avril 2013 Voir la discussion...
    • Cladthom
      commentaire modéré j'adore tes commentaires @joanhilton
      continue
      8 avril 2013 Voir la discussion...
  • Theus
    (à propos de Camille Claudel 1915)
    Sa note :
    Camille Claudel 1915 “ L'angoisse de la maladie mentale et de la solitude est parfaitement rendue. Mais le mysticisme de Paul Claudel plombe l'ambiance déjà morose ” — Theus 9 avril 2015
    2 commentaires
    • cath44
      commentaire modéré Ils sont enfermés tous les deux dans leur folie : Camille dans son délire de persécution et Paul dans son mysticisme intransigeant! Mais pourtant, malgré sa lenteur, son immobilité parfois, je l'a aimé, surtout en me laissant prendre par les "visages" tellement parlants!
      25 août 2015 Voir la discussion...
    • Theus
      commentaire modéré Pour moi, même si cette partie était nécessaire, elle m'a totalement déconnecté du film et du personnage de Camille Claudel, et m'a semblé bien inutile.
      25 août 2015 Voir la discussion...
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