Ce qu'en pense la communauté
- 64%
- 219 notes
- 97 veulent le voir
Micro-critique star (Robb) :
Robb
(à propos de Después de Lucía)
“ Después de Lucía frappe là où ça fait mal.Si il vous restait une once de foi en l'humanité elle finira noyée sous le chagrin.Terrifiant. ”
— Robb
28 janvier 2015
-
cath44
(à propos de Después de Lucía)
“ Arraché au deuil de la victime expiatoire, l’écho ravageant d’une violence sociétale. Un drame sur la mécanique silencieuse du harcèlement. ”
— cath44
20 décembre 2016
-
Woodystwood
commentaire modéré @cath44 Venant de quelqu'un qui écrit des MC au style magnifique comme «Du coup heureusement que les riches aiment les gens "atypiques".» (10000 € à celui qui trouvera pour quel film, lol), cela ressemblait à un compliment...25 janvier 2020 Voir la discussion... -
Butters
commentaire modéré @Woodystwood ton premier degré te jouera des tours.25 janvier 2020 Voir la discussion... -
Woodystwood
commentaire modéré @Butters Ah parce que votre commentaire ci-dessus c'était au 2e degré ? :-D25 janvier 2020 Voir la discussion...
-
-
Mariepatate
(à propos de Después de Lucía)
“ Spirale infernale qui nous fait chuter dans l'abîme de la bêtise humaine. On aime ou on aime pas, mais au moins on sent. ”
— Mariepatate
4 novembre 2015
-
Mariepatate
commentaire modéré Tentant, l'amalgame fille = coeur = patate douce ! Mais je crois que malgré mon goût pour les patates douces au cumin, je note plutôt avec la tête (elle est quand même un peu plus douée en calcul que mon coeur... Quoique). Et quand ma tête me dit "et alors ?" ou "et si on allait plus loin" à la fin, même si elle m'a dit plein de choses constructives avant, et bien ça fait descendre ma petite note. Je serais donc plutôt une patate violette, tu sais, le genre de patate pénible qui change de couleur à la cuisson.
-
Mariepatate
commentaire modéré Mais peut-être avais-je ce jour là un semblant de douceur de patate, il est vrai. Douceur qui m'aurait conduit à remettre en question cette vision selon laquelle la mort tue [taire] reconduit inévitablement à elle-même, et que la culpabilité inavouée d'Ale l'entraîne dans la tolérance de l'intolérable. Je ne sais.
-
Robb
commentaire modéré @Mariepatate Aucun amalgame concernant ta féminité et le fait de noter avec le coeur. Je note avec le coeur moi :) Sinon cette lecture du film que tu as bien saisis le rend pour moi que meilleur. C'est aussi ça la beauté du cinéma. Au plaisir de te lire petit tubercule.
-
-
hugo
(à propos de Después de Lucía)-
hugo
commentaire modéré C'est marrant, en relisant cette conversation, je vois que le nom de Gaspar Noé a été cité, et il se trouve que je viens de voir Daniel y Ana, le premier film de Franco puis des images de sa présentation à Cannes où il racontait qu'il était gêné d'être comparé à Gaspar Noé et Lars von Trier, dans la mesure où leur cinéma était l'exact opposé du sien. Je pense que ce garçon n'est vraiment pas très au clair avec ses propres intentions, ou en tout cas, ne l'était pas, à l'époque (un film comme Sundown me semble plus précis et mature que les autres).
-
Woodystwood
commentaire modéré @hugo Merci pour votre petite mise à jour, qui me permet de m'apercevoir que je n'ai pour l'instant vu aucun autre film de Michel Franco ! Effectivement Sundown a l'air intéressant (de plus avec un sacré acteur). Et sans relancer le débat, avec le recul je ne trouve toujours pas que DDL soit si raté que cela, bien au contraire. Peut-être parce qu'ayant moi-même été victime de harcèlement (dans des proportions heureusement bien moins graves), j'ai été touché personnellement par la description de ce phénomène pervers — que pour le coup, j'ai trouvée fort précise :-)
-
hugo
commentaire modéré Je ne dis pas qu'il restitue mal la réalité (et effectivement ce qu'on voit dans DDL me parait très vraisemblable), je ne comprends juste pas le commentaire qu'il essaie d'en faire.
-
Paco Rueda
Francisco Rueda
Paloma Cervantes
Juan Carlos Berruecos
Diego Canales
Carmen Beato
Humberto Busto
Marco Treviño
Monica Del Carmen
José María Torre
Nailea Norvind
María E. Sandoval
Ireri Solís
