Priez pour lui

Le film Des Hommes et des Dieux pour représenter la France aux Oscars 2011

Festival / Récompenses | Par Anaïs Jallais | Le 17 septembre 2010 à 16h42

On vous avait déjà presque tout dit sur le film de Xavier Beauvois, Des hommes et des Dieux, vient d'être désigné pour représenter la France dans la course aux Oscars. S'il est nommé par l'Académie (ce qui est probable, il y a presque toujours un film français sélectionné) il pourra concourir dans la catégorie du Meilleur film étranger.

La cérémonie aura lieu le 27 février pochain à Los Angeles, il faudra donc s'armer de patience avant de découvrir le palmarès ! Le dernier film français ayant reçu le prix remonte à 1992, avec Indochine de Regis Wargnier.

Actuellement en salle, Des Hommes et des Dieux est en tête du box-office. Après avoir reçu le Grand prix du Jury lors du dernier Festival de Cannes, le film connait un succès critique et public.

Si vous n'avez pas eu l'occasion de le voir, découvrez l'extrait qui suit, puis courrez en salle !


L'amour, état de fait extrait de Des hommes et des dieux
À ne pas rater...
8 commentaires
  • Arch_Stanton
    commentaire modéré On tient certainement le chef-d'oeuvre de l'année 2010 au cinéma pour la France. Les poils qui se hérissent dès les premières minutes, une boule au ventre tout du long et le coeur qui bat plus fort. Des signes qui ne trompent pas ! Dans l'une des scènes mémorables du film, le moine incarné par Lonsdale interprète ces signes et appelle cela avec beaucoup d'humanité : l'amour (voir ci-dessus). Et bien c'est l'amour qui prédomine tout du long de ces 2h contemplatives, dans un crescendo régulier, lent et inexorable jusqu'au drame final. Ce qui frappe avant tout, c'est la calme résignation et détermination avec lesquelles les membres de cette petite communauté monacale accueillent l'intrusion du Mal et la perte de leur paradis terrestre. Magnifique en tous points.
    18 septembre 2010 Voir la discussion...
  • 3zaza
    commentaire modéré ça ne va pas du tout ce film. Il s'agit à mes yeux d'une reconstitution tiède et d'une petite catastrophe d'incompréhension.
    Non seulement le réalisateur passe à côté d'un sujet important, mais les acteurs sont employés à contre-emploi, et le tout est caricatural. Sii Beauvois voulait faire un film documenté sur l'histoire de cet assassinat, tout en "mettant au courant" le reste du monde de ce qu'est la vie dans une congrégation monastique, pourquoi avoir une approche aussi niaise, pourquoi ne pas choisir des vrais questions, des vrais moments de doute, plutôt qu'une trame mélodramatique ?
    Ce film aurait dû s'appeler "mode d'emploi pour athées en manque de spiritualité".
    Le lac des cygnes comme un cheveu sur la soupe, les métaphores ou références trop faciles; une petite catastrophe (petite car personne ne s'en souviendra dans un mois).
    Bien sûr, les Oscars, toujours de très bon goût, ne pouvaient que récupérer ça.
    A voir absolument sur le même sujet, pour se purger et comprendre mieux tout : Hadewitch de Bruno Dumont.
    20 septembre 2010 Voir la discussion...
  • Arch_Stanton
    commentaire modéré On tient certainement le chef-d'oeuvre de l'année 2010 au cinéma pour la France. Les poils qui se hérissent dès les premières minutes, une boule au ventre tout du long et le coeur qui bat plus fort. Des signes qui ne trompent pas ! Dans l'une des scènes mémorables du film, le moine incarné par Lonsdale interprète ces signes et appelle cela avec beaucoup d'humanité : l'amour (voir ci-dessus). Et bien c'est l'amour qui prédomine tout du long de ces 2h contemplatives, dans un crescendo régulier, lent et inexorable jusqu'au drame final. Ce qui frappe avant tout, c'est la calme résignation et détermination avec lesquelles les membres de cette petite communauté monacale accueillent l'intrusion du Mal et la perte de leur paradis terrestre. Magnifique en tous points.
    18 septembre 2010 Voir la discussion...
  • 3zaza
    commentaire modéré ça ne va pas du tout ce film. Il s'agit à mes yeux d'une reconstitution tiède et d'une petite catastrophe d'incompréhension.
    Non seulement le réalisateur passe à côté d'un sujet important, mais les acteurs sont employés à contre-emploi, et le tout est caricatural. Sii Beauvois voulait faire un film documenté sur l'histoire de cet assassinat, tout en "mettant au courant" le reste du monde de ce qu'est la vie dans une congrégation monastique, pourquoi avoir une approche aussi niaise, pourquoi ne pas choisir des vrais questions, des vrais moments de doute, plutôt qu'une trame mélodramatique ?
    Ce film aurait dû s'appeler "mode d'emploi pour athées en manque de spiritualité".
    Le lac des cygnes comme un cheveu sur la soupe, les métaphores ou références trop faciles; une petite catastrophe (petite car personne ne s'en souviendra dans un mois).
    Bien sûr, les Oscars, toujours de très bon goût, ne pouvaient que récupérer ça.
    A voir absolument sur le même sujet, pour se purger et comprendre mieux tout : Hadewitch de Bruno Dumont.
    20 septembre 2010 Voir la discussion...
  • Arch_Stanton
    commentaire modéré On tient certainement le chef-d'oeuvre de l'année 2010 au cinéma pour la France. Les poils qui se hérissent dès les premières minutes, une boule au ventre tout du long et le coeur qui bat plus fort. Des signes qui ne trompent pas ! Dans l'une des scènes mémorables du film, le moine incarné par Lonsdale interprète ces signes et appelle cela avec beaucoup d'humanité : l'amour (voir ci-dessus). Et bien c'est l'amour qui prédomine tout du long de ces 2h contemplatives, dans un crescendo régulier, lent et inexorable jusqu'au drame final. Ce qui frappe avant tout, c'est la calme résignation et détermination avec lesquelles les membres de cette petite communauté monacale accueillent l'intrusion du Mal et la perte de leur paradis terrestre. Magnifique en tous points.
    18 septembre 2010 Voir la discussion...
  • 3zaza
    commentaire modéré ça ne va pas du tout ce film. Il s'agit à mes yeux d'une reconstitution tiède et d'une petite catastrophe d'incompréhension.
    Non seulement le réalisateur passe à côté d'un sujet important, mais les acteurs sont employés à contre-emploi, et le tout est caricatural. Sii Beauvois voulait faire un film documenté sur l'histoire de cet assassinat, tout en "mettant au courant" le reste du monde de ce qu'est la vie dans une congrégation monastique, pourquoi avoir une approche aussi niaise, pourquoi ne pas choisir des vrais questions, des vrais moments de doute, plutôt qu'une trame mélodramatique ?
    Ce film aurait dû s'appeler "mode d'emploi pour athées en manque de spiritualité".
    Le lac des cygnes comme un cheveu sur la soupe, les métaphores ou références trop faciles; une petite catastrophe (petite car personne ne s'en souviendra dans un mois).
    Bien sûr, les Oscars, toujours de très bon goût, ne pouvaient que récupérer ça.
    A voir absolument sur le même sujet, pour se purger et comprendre mieux tout : Hadewitch de Bruno Dumont.
    20 septembre 2010 Voir la discussion...
  • Arch_Stanton
    commentaire modéré On tient certainement le chef-d'oeuvre de l'année 2010 au cinéma pour la France. Les poils qui se hérissent dès les premières minutes, une boule au ventre tout du long et le coeur qui bat plus fort. Des signes qui ne trompent pas ! Dans l'une des scènes mémorables du film, le moine incarné par Lonsdale interprète ces signes et appelle cela avec beaucoup d'humanité : l'amour (voir ci-dessus). Et bien c'est l'amour qui prédomine tout du long de ces 2h contemplatives, dans un crescendo régulier, lent et inexorable jusqu'au drame final. Ce qui frappe avant tout, c'est la calme résignation et détermination avec lesquelles les membres de cette petite communauté monacale accueillent l'intrusion du Mal et la perte de leur paradis terrestre. Magnifique en tous points.
    18 septembre 2010 Voir la discussion...
  • 3zaza
    commentaire modéré ça ne va pas du tout ce film. Il s'agit à mes yeux d'une reconstitution tiède et d'une petite catastrophe d'incompréhension.
    Non seulement le réalisateur passe à côté d'un sujet important, mais les acteurs sont employés à contre-emploi, et le tout est caricatural. Sii Beauvois voulait faire un film documenté sur l'histoire de cet assassinat, tout en "mettant au courant" le reste du monde de ce qu'est la vie dans une congrégation monastique, pourquoi avoir une approche aussi niaise, pourquoi ne pas choisir des vrais questions, des vrais moments de doute, plutôt qu'une trame mélodramatique ?
    Ce film aurait dû s'appeler "mode d'emploi pour athées en manque de spiritualité".
    Le lac des cygnes comme un cheveu sur la soupe, les métaphores ou références trop faciles; une petite catastrophe (petite car personne ne s'en souviendra dans un mois).
    Bien sûr, les Oscars, toujours de très bon goût, ne pouvaient que récupérer ça.
    A voir absolument sur le même sujet, pour se purger et comprendre mieux tout : Hadewitch de Bruno Dumont.
    20 septembre 2010 Voir la discussion...
Des choses à dire ? Réagissez en laissant un commentaire...
Les derniers articles
On en parle...
Listes populaires
Télérama © 2007-2024 - Tous droits réservés - web1 
Conditions Générales de Vente et d'Utilisation - Confidentialité - Paramétrer les cookies - FAQ (Foire Aux Questions) - Mentions légales -