Coluche

Acteur, réalisateur, scénariste
Né à Paris, France le 28 octobre 1944, mort le 19 juin 1986
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Biographie de Coluche

Michel, Gérard, Joseph Colucci naît le 28 octobre 1944, 4 mois après la libération de Paris, dans un hôpital du XIVe arrondissement de Paris. Sa mère, Simone Bouyer dite Monette, est employée chez le fleuriste Baumann, boulevard Montparnasse. Son père, Honorio Colucci, originaire de la région du Latium en Italie, est peintre en bâtiment. Ce dernier décède en 1947 à 31 ans d'une poliomyélite et son épouse doit élever seule ses deux enfants. Délaissés par la belle-famille (à l'exception notable de Maria, la mère d'Honorio qui passe encore les voir), Monette, Michel et Danièle, laquelle a un an et demi de plus que son frère, vivent ensemble dans une pièce et une cuisine. Alors qu'elle avait renoncé à son travail pour élever ses enfants, Monette retrouve de petits emplois qu'elle doit parfois cumuler pour gagner un salaire de misère. Souffrant d'une grave scoliose, elle emmène ses enfants un été à Berck pendant ses traitements. Malgré toutes ces difficultés, elle garde espoir en l'avenir et adopte les façons de classes sociales plus aisées, veillant à ce que ses enfants soient bien mis. Michel n'apprécie pas cette fracture entre la réalité et les aspirations de sa mère, et à propos de ses vêtements qui tranchent avec ceux des autres enfants du quartier, il lui reprochera de l'habiller comme une fille.
Loin des rêves maternels, Michel choisit Montrouge (banlieue sud de Paris) où il traîne avec ses copains. Le travail scolaire ne le passionne pas et il fait rire ses camarades de classe en tenant tête à l'instituteur. Son parcours scolaire s'arrête au Certificat d'études primaires qu'il rate volontairement en juin 1958 : ayant fait une seule faute à la dictée le matin, et ainsi avoir selon lui fait ses preuves, il ne juge pas utile d'y retourner l'après-midi. Quand il n'est pas à l'école, il traîne avec ses copains de la bande Solo, du nom de la cité : la Solidarité. Accompagné généralement de Bouboule, de son vrai nom Alain Chevestrier, il cumule les petits larcins et aura régulièrement affaire à la police. Tous deux vont même jusqu'à s'essayer à des méfaits plus graves comme l'agression physique ; mais en tentant de dérober le sac d'une vieille dame ils se font tirer dessus par un passant. Coluche, qui avait alors la quinzaine, mettra longtemps avant de relater cet épisode de sa vie dont il a honte.
Son comportement exaspère Monette qui s'interroge de plus en plus vivement sur l'avenir de son fils. Il s'essaie alors à de petits boulots, qu'il n'arrive pas à garder bien longtemps. Ainsi il est tour à tour télégraphiste, céramiste, garçon de café, livreur, apprenti-photographe, sous-préparateur en pharmacie, photostoppeur, aide-pompiste, assistant de marchand de fruit et légumes ou encore fleuriste. C'est à ce moment qu'il prend goût pour la musique. Comme beaucoup de jeunes de sa génération, il est fan de rock, des Beatles, de Johnny Hallyday, des Chaussettes Noires ou encore d'Elvis Presley. Mais il voue également une profonde admiration à Georges Brassens. Après de longues discussions avec Monette, il obtiendra sa première guitare, dont il joue sans jamais avoir appris.
Peu à peu, il s'éloigne de Montrouge, à la recherche d'une autre vie que celle que lui réserve cette cité. Il traîne dans Paris, s'intéressant sans suite au métier de comédien, ou au monde des sports mécaniques, touchant un peu au bricolage. Il travaille un temps chez un fleuriste de l'île de la Cité. En 1964, il est incorporé dans le 60e régiment d'infanterie de Lons-le-Saunier, où il fait de la prison pour insubordination. De retour à la vie civile, il travaille comme fleuriste avec sa mère à la boutique qu'elle vient d'ouvrir dans le quartier de la Gare de Lyon. Toutefois, il estime ce travail peu intéressant et le quitte brutalement, ce qui lui vaut de se brouiller provisoirement avec sa mère.
À la fin des années 1960, il décide de se lancer dans la musique. Entre 1966 et 1967, il interprète certaines chansons de Boby Lapointe, Boris Vian, Georges Brassens, Léo Ferré ou encore Yves Montand, aux terrasses des cafés des quartiers de la Constrescarpe et de Saint-Michel. Il s'associe avec des musiciens rencontrés sur place, Xavier Thibault, Jacques Delaporte et Jean-Claude Dagostini, dit Le Boeuf, avec lesquels il crée un groupe éphémère : les « Craignos Boboys ». Il se rapproche ensuite du monde des cabarets. Tout en assumant un travail de plongeur (dans la restauration), il se produit sur la scène du cabaret Chez Bernadette, dans le quartier de la Montagne Sainte-Geneviève à Paris. Il y fait la connaissance de Georges Moustaki, lequel l'héberge et le soutient financièrement. Toujours à Paris, il se produit dans d'autres cabarets : La Galerie 55 rue de Seine, Le Port du Salut rue Saint Jacques ou La Vieille Grille rue du Puits-de-l'Ermite. Il travaille ensuite au cabaret La Méthode rue Descartes, comme barman et régisseur. Il y rencontre France Pellet et son frère, Alain Pellet avec lesquels il se produit sous le nom : « Les Tournesols ». Il y rencontre également Romain Bouteille, qu'il présentera toute sa vie comme son modèle,.
Avec Romain Bouteille, il est présent dès l'origine du Café de la Gare, inauguré officiellement le 12 juin 1969. Ce lieu symbole du café-théâtre réunit une bande de jeunes comédiens dont beaucoup deviendront célèbres, tels que Patrick Dewaere, Henri Guybet, Miou-Miou, Martin Lamotte... Parmi les parrains du Café de la Gare on retrouve Georges Moustaki, Raymond Devos, Jean Ferrat, Jacques Brel, Leni Escudero, Pierre Perret, Jean Yanne et l'équipe de la revue Hara-Kiri. Plus tard, Gérard Lanvin, Renaud Séchan, Rufus, Diane Kurys, Coline Serreau, Anémone, Gérard Depardieu, Thierry Lhermitte, Josiane Balasko ou encore Gérard Jugnot vont rejoindre la nouvelle troupe ou y faire une collaboration ponctuelle.
Suite à ses problèmes d'alcool qui, selon ses proches, le rendent exécrable voire violent, il se voit contraint de quitter la troupe en 1970.
En octobre 1971, Jacques Martin le recommande à Georges Folgoas, producteur de Midi magazine, pour faire équipe avec Danièle Gilbert. L'expérience ne durera que cinq jours.
Durant la fin des années 1960 et le début des années 1970, il est engagé sur plusieurs tournages de séries télévisées françaises de l'ORTF (Madame êtes-vous libre ? avec Denise Fabre puis La cloche tibétaine avec Philippe Léotard). Au cours de cette période, à l'instar de ses collègues de café-théâtre, il apparaît dans des spots publicitaires à la radio et à la télévision. En 1970, il campe un petit rôle dans son premier long-métrage, Le pistonné de Claude Berri.
En novembre 1971, il fonde une autre troupe, Au vrai chic parisien - Théâtre vulgaire, puis Le vrai chic parisien. Le premier spectacle s'intitule Thérèse est triste, avec une affiche réalisée par son ami Jean-Marc Reiser.
Il rencontre à cette période sa future épouse Véronique Kantor, alors étudiante de « bonne famille » qui se destine au journalisme. Il l'épousera le 16 octobre 1975. Ils ont deux garçons, prénommés Romain en 1972 et Marius en 1976.
Toujours à cause de son comportement et de ses addictions, il quitte sa troupe une nouvelle fois et se lance dans une carrière solo.
Son premier sketch, C'est l'histoire d'un mec, tourne en dérision la difficulté de raconter une histoire drôle. Ses sketches suivants lui valent rapidement un succès populaire qui ne se démentira plus : « Il inventait pour les années 1970 une image de pauvre urbain, bonne pâte mais à court d'idées, empêtré dans les mots, raciste faute de mieux, ballotté par la publicité et les jeux radiophoniques ». Il revendique sa grossièreté : « Toujours grossier, jamais vulgaire ».
Au printemps 1974, l'impresario et producteur Paul Lederman lui offre le Théâtre La Bruyère pour y prolonger Thérèse est triste, mais c'est un fiasco. Il devient alors son propre impresario; Claude Martinez devenant son associé.
Du 15 février au 2 mars 1974, il se produit à L'Olympia dans le spectacle Mes adieux au music-hall. C'est dans ce spectacle qu'apparaissent sa célèbre salopette à rayures bleues et son tee-shirt jaune. Il y met en scène ses personnages favoris, des beaufs grossiers, incapables de s'exprimer correctement, haineux. Le 10 mars 1974, il signe le contrat d'un premier disque : l'album des Adieux.
Comme humoriste, Coluche apparaît pour la première fois à la télévision le 19 mai 1974, lorsque Guy Lux diffuse L'histoire d'un mec, juste avant l'allocution du perdant de l'élection présidentielle, François Mitterrand, lequel était en retard.
En 1975, il est en tournée à travers la France, lorsque toutes les radios diffusent son pastiche du jeu télévisé de Guy Lux, le Schmilblick. Dans ce sketch apparaît un futur personnage célèbre de l'humoriste : Papy Mougeot.
En 1976, il remonte la pièce Ginette Lacaze à l'Élysée Montmartre avec les comédiens du Splendid, auxquels il a offert des mobylettes pour leurs déplacements entre deux scènes parisiennes ou les tournages.
En plus de sa carrière de comique au théâtre, il joue à cette époque dans plusieurs comédies à succès au cinéma, dont L'Aile ou la Cuisse en 1976 avec Louis de Funès, Claude Gensac et Marcel Dalio sous la direction de Claude Zidi et la production de Christian Fechner.
Du 24 avril 1978 au 24 juin 1979, il co-anime avec Robert Willar et Gérard Lanvin l'émission On n'est pas là pour se faire engueuler sur Europe 1, mais son ton provocateur le fait renvoyer. Il triomphe dans le même temps tous les soirs au Gymnase.
Passé à RMC en janvier 1980, il se fait également renvoyer après seulement douze jours, après avoir pris l'antenne par un : « Bonjour, nous sommes en direct du rocher aux putes. »
Après sa période d'interdiction d'antenne sur l'ensemble des radios et TV françaises, Coluche profite de la libéralisation de la bande FM. Il participe au lancement de la station RFM fondée par le journaliste Patrick Meyer en juin 1981. Alors que sa concurrente NRJ n'existe pas encore, cette station qui a de gros moyens de diffusion, dérange le pouvoir et sera brouillée durant plusieurs années. Coluche restera trois mois à l'antenne.
Le 30 octobre 1980, il organise une conférence de presse où il annonce son intention de se présenter à l'élection présidentielle de 1981, avec des slogans tels que « Avant moi, la France était coupée en deux. Maintenant elle sera pliée en 4 », ou encore « Coluche, le seul candidat qui n'a pas de raison de mentir ».
Certains y voient une blague, pourtant un sondage le crédite de 16 % d'intentions de vote, et il est soutenu par des intellectuels tels que Pierre Bourdieu, Félix Guattari et Gilles Deleuze. Cette candidature inquiète les équipes de campagne des principaux candidats : François Mitterrand y voyant une menace potentielle, il charge Jean Glavany et Gérard Colé, deux responsables du Parti socialiste, de dissuader Coluche de maintenir sa candidature.
Un candidat « anti-Coluche » annonce également son intention de participer aux élections, mais ni l'un ni l'autre n'iront jusqu'au bout du processus. En effet, suite aux pressions et à l'assassinat de son régisseur René Gorlin, Coluche annonce qu'il se retire le 16 mars 1981.
Il divorce en décembre 1981. Lors d'une édition spéciale, il pose en photo pour le magazine satirique Hara-kiri avec une carabine 22 Long Rifle qu'il offrira à son meilleur ami, Patrick Dewaere. Durant cette période d'errance, il vit en Guadeloupe où il s'adonne à sa passion : fabriquer des chaussures. Il invite Elsa (de son vrai nom Élisabeth Malvina Chalier), l'épouse de Patrick Dewaere à le rejoindre sur l'île. Celle-ci quitte alors son mari pour rejoindre Coluche.
Durant la même période, Coluche doit tourner, sur l'insistance de Bertrand Blier, le film La Femme de mon pote avec Patrick Dewaere et Miou-Miou (qui fut également la compagne de ce dernier). Le scénario s'inspire sensiblement de faits réels et de l'intimité qui unit ces trois acteurs.
Le 16 juillet 1982, Patrick Dewaere se suicide, déprimé après le départ de sa compagne, en se tirant une balle dans la tête avec la carabine que Coluche lui avait donnée. Michel Colucci sombre de plus en plus dans la dépression, l'alcool et la drogue.
Après le suicide de Patrick Dewaere, Miou-Miou refusera d'assumer le rôle du film de Blier, trop douloureux. Le climat doux-amer du film, que Coluche tournera finalement en compagnie d'Isabelle Huppert et de Thierry Lhermitte, laisse transparaître un certain changement dans le style de jeu de Coluche, préfigurant le rôle dramatique de Tchao Pantin.
En tant qu'acteur, la consécration vient avec le film Tchao Pantin (1983) de Claude Berri, où il joue le rôle dramatique d'un pompiste meurtri, pas si différent de la vie qu'il mène alors. Il obtient le César du meilleur acteur en 1984.
Avant ce succès, d'autres interprétations lui assurent sa notoriété : en 1982 il joue le rôle de Marcel Ben Hur dans une comédie satirique nommée Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ. Il joue également dans le film Banzaï qui marque là sa troisième collaboration avec Claude Zidi. En 1984, il tient le rôle principal dans La Vengeance du serpent à plumes de Gérard Oury.
Au-delà de son métier d'humoriste, Coluche veut incarner un agitateur d'idées. Le 15 juin 1985, il anime avec Guy Bedos le concert de SOS Racisme place de la Concorde. De même, il organise le 25 septembre 1985 un gigantesque canular : les télévisions et la France entière peuvent assister au mariage de Coluche et de Thierry Le Luron, « pour le meilleur et pour le rire ». C'est une provocation parodique du très médiatisé mariage d'Yves Mourousi, et une vision avant-gardiste autour du mariage homosexuel.
Du 8 juillet 1985 jusqu'en mars 1986, il anime l'émission Y en aura pour tout le monde sur Europe 1 avec Maryse, ainsi que Coluche 1-faux sur Canal+.
Le 26 septembre 1985, il lance l'idée des Restos du Coeur sur Europe 1, en déclarant : « J'ai une petite idée comme ça, si des fois y a des marques qui m'entendent, je ferai un peu de pub tous les jours. Si y a des gens qui sont intéressés pour sponsorer une cantine gratuite qu'on pourrait commencer par faire à Paris ».
En 1985, il s'engage contre la famine en Éthiopie en chantant SOS Éthiopie avec l'association Chanteurs sans frontières, composée de chanteurs français célèbres des années 1980.
Passionné de sports mécaniques, il s'engage sur le Paris-Dakar (étant le beau-frère de René Metge). Il bat le record du monde à moto de vitesse du kilomètre lancé sur piste, le 29 septembre 1985 : il atteint 252,087 km/h sur le circuit de Nardo au guidon de la Yamaha 750 OW 31.
Pour préparer son spectacle suivant, il s'établit sur la Côte d'Azur à proximité d'Opio (Alpes Maritimes). Peu avant l'accident, il vient d'enregistrer ses essais de sketches sur une cassette audio (Les Hommes Politiques, Les Journalistes, L'Administration, Les Sportifs...) qu'il avait fait parvenir à son producteur, Paul Lederman. Une partie de ces sketches ont été édités par la suite (on entend distinctement que les rires en fond ne sont pas ceux d'une grande salle à laquelle Coluche était alors habitué). Sa compagne d'alors (Fred Romano) déclarera que certains de ces enregistrements auraient disparu durant la période de son accident.
Le 19 juin 1986, sur le trajet à moto qui le ramène de Cannes à Opio, Coluche est accompagné de deux amis. Contrairement aux déclarations officielles du chauffeur du poids-lourd à l'origine de l'accident, il ne porte pas de casque (accroché au guidon) durant ce trajet, mais roule à vitesse modérée (selon l'expertise, à environ 60 km/h au lieu des 90 km/h autorisés). Un camion lui coupe brusquement la route, en effectuant une manoeuvre (virage sec à gauche) sur une route de Grasse (fin de ligne droite au croisement route de Cannes et chemin du Piol à Opio). L'humoriste ne peut rien faire, sinon tenter une manoeuvre désespérée en couchant sa moto sous l'obstacle, dans l'espoir de passer sous le camion. Mais sa tête percute l'avant-droit du véhicule. Le choc lui est fatal.
Les circonstances entourant cet accident entraîneront plusieurs rumeurs et même la thèse d'un assassinat. Un ouvrage, publié en 2006, permettra d'aborder les conditions dans lesquelles l'intervention de la gendarmerie locale et l'enquête policière ont été menées en 1986 : Coluche, l'accident de Jean Depusse et Antoine Casubolo.
Coluche est inhumé le mardi 24 juin 1986 à 10 h 30, au cimetière de Montrouge, dans le 14e arrondissement parisien, près de la porte d'Orléans. De nombreuses personnalités du milieu du Show Business seront présentes à son enterrement parmi lesquelles Yves Montand, Gérard Jugnot, Dominique Lavanant, Mathilda May, Claude Berri, Miou-Miou, Thierry Lhermitte, Michel Serrault, Josiane Balasko, Michel Blanc, Martin Lamotte, Gérard Lanvin, Anémone, Richard Anconina, Michel Boujenah, Jean-Paul Belmondo, Jean Yanne, Valérie Mairesse, Gérard Depardieu. La cérémonie funéraire est célébrée par l'Abbé Pierre.
Tour à tour dénigré, craint et admiré, Coluche est devenu le provocateur majeur des années 1980, osant combiner grossièreté et idées fortes. Chacune de ses apparitions télévisées et radiophoniques a été un succès populaire. À la télévision comme à la radio, il a lutté contre toutes les censures, la langue de bois, et pour l'ouverture des esprits et la démystification du racisme, de la politique, des médias, de la publicité ou encore du journalisme à la française. Sa créativité, sa maîtrise des médias et la pertinence des thèmes qu'il a traités autant que son investissement personnel dans une cause humanitaire survivent à Coluche. Il reste encore aujourd'hui un personnage majeur dans l'imaginaire populaire français.

Filmographie de Coluche

  • 1
    10 mai 1981 : Changer la vie ?
    un film de Stéphane Benhamou
    Il y a quarante ans, en mai 1981, au moment de l'élection de François Mitterrand, certains s'autorisaient à rêver à une vie meilleure quand d'autres promettaient l'arrivée des char...
    1h31
    Ma note :
  • 2
    Le Fou de guerre
    Taux de satisfaction de la communauté
    35%
    un film de Dino Risi
    Lybie, 1940. Lupi, un jeune sous-lieutenant spécialisé en psychiatrie, travaille au Service de santé de l'armée italienne. Il y fait la connaissance d'Oscar Pilli, un officier méde...
    1h48
    Ma note :
  • 3
    Les Rois du gag
    Taux de satisfaction de la communauté
    10%
    un film de Claude Zidi
    Un comique d'un certain âge fait appel à deux jeunes auteurs afin de renouveller son répertoire. Mais il se retrouve embringué, suite à une dispute avec son épouse, dans un film pr...
    1h38
    Ma note :
  • 4
    Sac de noeuds
    Taux de satisfaction de la communauté
    09%
    (1984)
    un film de Josiane Balasko
    Une vamp de banlieue se réfugie chez sa voisine, une demi-clocharde plutôt laide et suicidaire. Se croyant meurtrière de son mari policier et alcoolique qu'elle vient de mettre hor...
    1h30
    Ma note :
  • 5
    La Vengeance du serpent à plumes
    Taux de satisfaction de la communauté
    08%
    un film de Gérard Oury
    La grand-mère de Loulou Dupin lui laisse en héritage un appartement à Paris. Lorsqu'il vient en prendre possession, il découvre dans les placards de la dynamite, de la nitroglycéri...
    1h45
    Ma note :
  • 6
    Le Bon roi Dagobert
    Taux de satisfaction de la communauté
    04%
    un film de Dino Risi
    Le roi Dagobert vit entouré de nombreuses concubines. Comme il est par ailleurs un bon chretien, il décide de s'amender auprès du Pape à Rome.
    1h48
    Ma note :
  • 7
    Tchao Pantin
    Taux de satisfaction de la communauté
    73%
    (1983)
    un film de Claude Berri
    À Paris dans le 18e arrondissement, un pompiste de nuit alcoolique, Lambert et un jeune moitié juif moitié arabe, Bensoussan, petit trafiquant sans envergure, deviennent amis. Une ...
    1h40
    Ma note :
  • 8
    La Femme de mon pote
    Taux de satisfaction de la communauté
    35%
    un film de Bertrand Blier
    Deux copains, Pascal et Micky, travaillent dans une station de sports d'hiver. Pascal a une liaison avec Viviane qui est loin de laisser Micky indifférent, mais c'est la femme de s...
    1h39
    Ma note :
  • 9
    BanzaÏ
    Taux de satisfaction de la communauté
    23%
    (1983)
    un film de Claude Zidi
    Michel Bernardin est employé à Planète Assistance, société qui aide les Français en difficulté à l'étranger. Sa fiancée Isabelle va quitter son emploi d'hôtesse de l'air pour passe...
    1h30
    Ma note :
  • 10
    Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ
    Taux de satisfaction de la communauté
    31%
    un film de Jean Yanne
    Rahatlocum est une colonie romaine nord-africaine où Jules César est venu passer des vacances dispendieuses. La révolte gronde parmi le petit peuple qui se trouve un leader en la p...
    1h37
    Ma note :

Avis sur les films de Coluche

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