Le Lit conjugal
(1963)
un film de
Satisfaction communauté 60%
Le Lit conjugal

Le Lit conjugal

(1963)
un film de
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Micro-critique star (Hekatompylos) :
Hekatompylos
(à propos de Le Lit conjugal)
Sa note :
Le Lit conjugal “ La déchéance d'un homme pourtant sûr de lui, sa femme ayant un seul but, enfanter. La famille et l'église caricaturées par un Ferreri féroce ” — Hekatompylos 4 octobre 2020
3 commentaires
  • Hekatompylos
    (à propos de Le Lit conjugal)
    Sa note :
    Le Lit conjugal “ La déchéance d'un homme pourtant sûr de lui, sa femme ayant un seul but, enfanter. La famille et l'église caricaturées par un Ferreri féroce ” — Hekatompylos 4 octobre 2020
    3 commentaires
    • Hekatompylos
      commentaire modéré Film frappé par la censure initialement, tant l'image donnée de la religion n'est pas jolie-jolie. Marina Vlady y est resplendissante : prix d'interprétation féminine au Festival de Cannes. La fable est dure pour son héros (Ugo Tognazzi, admirable), mais on sourit souvent. Tout le talent de Ferreri.
      4 octobre 2020 Voir la discussion...
    • Hekatompylos
      commentaire modéré Cette oeuvre a évidemment vieilli, difficile de dire le contraire, mais elle montre bien ce que pouvait être l'influence de l'église sur la famille il y a quelques années encore.
      4 octobre 2020 Voir la discussion...
    • Hekatompylos
      commentaire modéré La scène de la retraite spirituelle du héros et plusieurs de ses collègues dans un gymnase avec un crucifix attaché à un panneau de basket m'a vraiment beaucoup amusé.
      5 octobre 2020 Voir la discussion...
  • K_Sania
    (à propos de Le Lit conjugal)
    Sa note :
    Le Lit conjugal “ Déjà préoccupé par la semence de l'homme, Ferreri tourne en dérision les préceptes du mariage bourgeois dans une allégorie pleine d'ironie. ” — K_Sania 8 septembre 2021
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  • Kikuchiyo
    (à propos de Le Lit conjugal)
    Sa note :
    Le Lit conjugal “ Un savoureux mélange d’humour et de frayeur se niche dans cet écart entre la brutalité d’une chute et l’ironie avec laquelle on l’ignore. ” — Kikuchiyo 17 janvier 2022
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