“ Faire le vide autour de soi, prendre le temps d'observer les autres. Et les haïr. D'une puissance extra ordinaire, sans aucun dialogue. ”— tylerd1477 1 septembre 2017
commentaire modéré@CYHSY avec ce nouveau site je n'avais pas vu tes commentaire. Oui l'Oulipo car Georges Perec en est le fondateur et il est co-réalisateur du film qui est tiré de son roman.
“ Faire le vide autour de soi, prendre le temps d'observer les autres. Et les haïr. D'une puissance extra ordinaire, sans aucun dialogue. ”— tylerd1477 1 septembre 2017
“ Procès radical de la société aux frontières de la psychose‚ errance entre indolence et obsession avec un texte hypnotique de GP ! ”— georges.b1 3 septembre 2015
“ Tu n'es plus le maître anonyme du monde, tu n'es plus le transparent - tu attends, tu attends Place Clichy que la pluie cesse de tomber. ”— psobkow10 mars 2015
“ Perception insistante du temps qui s'égoutte, qui commence, qui finit, qui continue, qui sait... Superbe bande son pour un film un peu long. ”— LapinVolant14 mars 2016
“ L'adaptation est parfaitement pensée, habile. Mais la lecture du livre, cette expérience singulière, ne se suffirait-elle pas à elle-même? ”— Naginie20 mars 2012
“ Quête de soi, quête de liberté.S'affranchir de l'avenir pour essayer de vivre le présent, et cette terrible fatalité, à n'être que soi... ”— Marion_L18 janvier 2015
“ Et une femme qui parle. La voix comme moteur d'un film. "Un homme" conclut la trilogie narrative à la française, avec La Jetée et Le Horla. ”— Limdebois18 février 2018
commentaire modéré
... et parce qu'en France, quand on est trois, c'est qu'il en reste toujours un autre (et puisque le petit dernier mousquetaire, c'est lui, Un homme), citons le quatrième miracle, court comme les deux premiers : La Rivière du hibou, de Robert Enrico. (Le Horla, c'est celui de Pollet.)
“ Ce film est aussi une leçon de cinéma sur le montage, les valeurs de plans, la bande-son, la profondeur de champ et bien plus encore.A voir! ”— Frenchblues 8 février 2012
“ ..esthétisme du sarcasme de bobos qui mettent en scène des jeunes sans talents, nostalgiques de leurs pseudo badboy : Boris Vian.. ”— orloff18 mars 2017
Paris, 1974. Un étudiant refuse de continuer ses études et choisit de "vivre au point mort". "Un Homme qui dort" est le journal strict et précis de cette contestation radicale et existentielle de la société, à la limite de la schizophrénie. C'est un projet de cinéma un peu fou : sans vedette, deux réalisateurs quasi inconnus, en noir et blanc, entièrement en voix-off, et un pari de mise en scène reposant sur la rigueur et l'esthétique. Le résultat est fascinant.