Zift

(2008)

un film de Javor Gardev

Ce qu'en pense la communauté

-
5 notes
2 veulent le voir

Micro-critique star (Airone) :

(à propos de Zift)

Sa note :

“ Vulgaire et caricatural au possible, stéréotypé et esthétiquement infâme, Zift est un manifeste réac et abject au machisme écœurant. ” — Airone 4 juillet 2015

19 commentaires

Airone
(à propos de Zift)

Sa note :

“ Vulgaire et caricatural au possible, stéréotypé et esthétiquement infâme, Zift est un manifeste réac et abject au machisme écœurant. ” — Airone 4 juillet 2015
19 commentaires
- Airone
  
  commentaire modéré *nomination
  4 juillet 2015 Voir la discussion...
- Arch_Stanton
  
  commentaire modéré @Airone Pour les Oscars, peut-être qu'il a été présenté par son pays d'origine pour le représenter afin d'obtenir la statuette de "meilleur film étranger" ?
  4 juillet 2015 Voir la discussion...
- Airone
  
  commentaire modéré @Torrebenn Je pense que c'est tout simplement ça, mais c'est que je ne le trouvais recensé nulle part en fait !
  5 juillet 2015 Voir la discussion...
commentaire modéré
à l'instant Voir la discussion...
Jonhkebab
(à propos de Zift)

Sa note :

“ Polar bulgare atypique dont le style met en valeur une histoire de magot assez classique… ” — Jonhkebab 1 juin 2021
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zagreus
(à propos de Zift)

Sa note :

“ Des séquences folles mais une histoire terriblement insignifiante. ” — zagreus 27 juillet 2017
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Casting de Zift

Zahary Baharov

Tanya Ilieva

Vladimir Penev

Mihail Mutafov

Djoko Rosic

Ivo Krastev

Hristo Peev

Infos sur Zift

Réalisé par Javor Gardev

Bulgarie - 1h32 - Drame, Thriller
Titre original : Дзифт
Sortie le 27 juin 2008

Synopsis

On connaît tous l'histoire du type qui sort de prison après avoir purgé une peine pour un crime qu'il n'a pas commis et qui n'a qu'une envie: se venger. Dans le cas de Moth, les choses sont plus complexes. Ce Bulgare a été incarcéré en 1944 avant le coup d'État communiste et recouvre sa liberté en 1960. Il ne reconnaît plus Sofia, totalitaire, violente, peuplée d'individus louches, ouverte à toutes les bassesses. Un grand film noir (et blanc) !