“ Le cinéma d'après-demain, et une expérience physique hors du commun en terme d'immersion. Tétanisant, bouleversant et d'une beauté sans égal ”— Nico_Gilli12 septembre 2013
“ Le grand amour illustré par les liaisons karmiques, réinvention de la narration cinématographique par un montage hors normes. Exceptionnel. ”— Nico_Gilli10 février 2013
“ Maîtrise de l'espace, opposition des mouvements du train et de l'humanité, ruptures de ton brutales et paraboles passionnantes. Grand film. ”— Nico_Gilli 8 septembre 2013
Synopsis : Inside Llewyn Davis raconte une semaine de la vie d'un jeune chanteur de folk dans l'univers musical de Greenwich Village en 1961. Llewyn Davis est à la croisée des chemins. Alors qu'un hiver rigoureux sévit sur New York, le jeune homme, sa guitare à la main, lutte pour gagner sa vie comme musicien et affronte des obstacles qui semblent insurmontables, à commencer par ceux qu'il se crée lui-même. Il ne survit que grâce à l'aide que lui apportent des amis ou des inconnus, en acceptant n'importe quel petit boulot. Des cafés du Village à un club désert de Chicago, ses mésaventures le conduisent jusqu'à une audition pour le géant de la musique Bud Grossman, avant de retourner là d'où il vient.
Synopsis : Chine, 1936. Ip Man, maître légendaire de Wing Chun (un des divers styles de kung-fu) et futur mentor de Bruce Lee, mène une vie prospère à Foshan où il partage son temps entre sa famille et les arts-martiaux. C’est à ce moment que le Grand maître Baosen, à la tête de l’Ordre des Arts Martiaux Chinois, cherche son successeur. Pour sa cérémonie d’adieux, il se rend à Foshan, avec sa fille Gong Er, elle-même maître du style Ba Gua et la seule à connaître la figure mortelle des 64 mains. Lors de cette cérémonie, Ip Man affronte les grand maîtres du Sud et fait alors la connaissance de Gong Er en qui il trouve son égal. Très vite l’admiration laisse place au désir et dévoile une histoire d’amour impossible. Peu de temps après, le Grand maître Baosen est assassiné par l’un de ses disciples, puis, entre 1937 et 1945, l’occupation japonaise plonge le pays dans le chaos.
“ Des robots et des monstres, oui. Mais surtout un esprit chevaleresque, l'union comme arme et cette petite fille face à l'apocalypse. Grand. ”— Nico_Gilli12 juillet 2013
“ Samsara, ou le film d'adieu d'une humanité à cette Terre qu'elle a massacrée. Éblouissant, pétrifiant, un nouvel Everest cinématographique. ”— Nico_Gilli13 septembre 2012
“ Du chaos naît la grâce, et ce poème sublimant l'amour trouve sa densité de sa simplicité tout en condensant l'œuvre de son auteur en 2h. ”— Nico_Gilli25 avril 2013
Synopsis : Freddie, un vétéran, revient en Californie après s’être battu dans le Pacifique. Alcoolique, il distille sa propre gnôle et contient difficilement la violence qu’il a en lui… Quand Freddie rencontre Lancaster Dodd – « le Maître », charismatique meneur d’un mouvement nommé la Cause, il tombe rapidement sous sa coupe...
Synopsis : 1921. Ewa et sa sœur Magda quittent leur Pologne natale pour la terre promise, New York. Arrivées à Ellis Island, Magda, atteinte de tuberculose, est placée en quarantaine. Ewa, seule et désemparée, tombe dans les filets de Bruno, un souteneur sans scrupules. Pour sauver sa sœur, elle est prête à tous les sacrifices et se livre, résignée, à la prostitution. L’arrivée d’Orlando, illusionniste et cousin de Bruno, lui redonne confiance et l'espoir de jours meilleurs. Mais c'est sans compter sur la jalousie de Bruno...
Synopsis : À Bangkok, Julian, qui a fui la justice américaine, dirige un club de boxe thaïlandaise servant de couverture à son trafic de drogue. Sa mère, chef d’une vaste organisation criminelle, débarque des États-Unis afin de rapatrier le corps de son fils préféré, Billy : le frère de Julian vient en effet de se faire tuer pour avoir sauvagement massacré une jeune prostituée. Ivre de rage et de vengeance, elle exige de Julian la tête des meurtriers. Julian devra alors affronter Chang, un étrange policier à la retraite, adulé par les autres flics.
Synopsis : Il y a vingt ans, Gary, Andrew, Oliver, Steven et Peter étaient jeunes et fous et aimaient faire la tournée des bars. Les cinq amis d'enfance se souviennent avec nostalgie, enfin surtout Gary, d'une soirée épique, où ils avaient écumé les douze pubs de la ville. Ce temps là est loin derrière sauf pour Gary, qui refuse obstinément de mener une vie rangée. Celui-ci décide de réunir ses amis pour un nouveau marathon de la boisson. D'abords réticents, ces derniers finissent par céder et ensemble, ils se rendent donc dans leur ville natale, pour aller dans le seul pub où ils n'ont jamais mis les pieds, le mystérieux «The World's End», désormais peuplé de robots extraterrestres...
“ Entre western et film de vengeance, QT plonge l'Amérique face à son histoire, pose sa narration, dégraisse ses effets et élève son cinéma. ”— Nico_Gilli13 décembre 2012
Synopsis : En 2159, alors que la population riche vit sur une station spatiale artificielle, le reste de l'humanité tente de survivre sur la Terre dévastée. Un homme accepte une mission qui pourrait ramener l'égalité entre les deux mondes.
Synopsis : La descente aux enfers d’un avocat pénal, attiré par l’excitation, le danger et l’argent facile du trafic de drogues à la frontière américano-mexicaine. Il découvre qu’une décision trop vite prise peut le faire plonger dans une spirale infernale, aux conséquences fatales.
Synopsis : Abandonné à sa naissance, Kang-do est un homme seul qui n’a ni famille, ni ami. Recouvreur de dettes sans pitié et sans compassion, il menace ou mutile les personnes endettées dans un quartier destiné à être rasé. Un jour, Kang-do reçoit la visite d’une femme qu’il ne connaît pas et qui lui dit être sa mère. Pour la première fois de sa vie, le doute s’installe en lui…
Synopsis : Sud de l’Espagne, dans les années 20. Carmen est une belle jeune fille dont l’enfance a été hantée par une belle-mère acariâtre. Fuyant un passé dont elle n’a plus mémoire, Carmen va faire une rencontre insolite : une troupe ambulante de nains toreros qui va l’adopter et lui donner le surnom de "Blancanieves". C’est le début d’une aventure qui va conduire Carmen/Blancanieves vers elle-même, vers son passé, et surtout vers un destin à nul autre semblable…
commentaire modéré@marivaudage là tu exagères
les autres films peuvent se défendre sur pas mal de points. Mais elysium je vois pas... a part si on oublie les thématiques, le propos et qu'on se consacre qu'à l'aspect geek quand ça pète. Mais pour le reste... ça me paraît indéfendable un telle vision simpliste des choses.
commentaire modéré@Cladthom bon en fait on n'est pas d'accord ...
Je trouve les scènes de baston assez mal foutues dans Elysium. En revanche, la description du monde dans lequel ils vivent m'intéresse vivement : que ce soit la dystopie du monde d'en bas ou l'utopie (tout aussi terrifiante à mon avis, voire plus) du monde d'en haut. Je ne dis pas que je suis d'accord avec cette vision du monde mais j'aime toujours beaucoup qu'on me raconte ce genre d'histoires, j'y lis beaucoup d'angoisses du monde actuel. Je trouve que c'est surtout dans les films d'anticpation qu'on peut trouver un tel retour du refoulé.
commentaire modéré
Je ne trouve pas sa simpliste, c'est tout le contraire. On est dans de la SF, genre qui ne joue que de la symbolique, donc je vois pas où est le problème. Après on peut s'amuser à faire une liste de dictatures, bien réelles, dans lesquelles le système de santé le plus efficace est réservé aux élites ou au pouvoir.
commentaire modéré
Même the island de michael bay avait mieux compris le récit d'anticipation que elysium, c'est triste à dire... mais vrai.
Lui au moins il offrait aux personnages une alternative, une perspective d'avenir, une motivation pour "continuer" avec cette idée de l'île.
Ici les personnages n'ont aucun avenir, bosse dans des usines et dans la crasse en se faisant traiter comme de la merde tout le temps, si on leur donne strictement aucune perspective dans le futur d'émancipation, comment peuvent-ils rester soumis sans jamais se révolter ?
Ça n'a aucun sens. Tout ce que veulent les pauvres c'est aller sur elysium pour se soigner. Débile.
Moi aussi j'aime ce genre d'histoire, mais là ça n'a aucune crédibilité.
Les riches n'ont également aucune motivation d'être riche, puisqu'ils sont juste dans leur tour d'ivoire en évitant le plus possible le monde "extérieur", quel intérêt ? Blomkampt n'a pas saisi le principe de l'american way of life.
Si on cherche à s'enrichir c'est avant tout pour affirmer sa supériorité ou à se distinguer des autres, à acheter même les autres pour satisfaire (entre autre) ses appétits lubriques (on aurait pu voir des riches importer des pauvres sur elysium grâce à des filières clandestines). Ici rien. Cette idée d'éviter tout contact avec les pauvres est encore un contre sens absolu.
La symbolique pour qu'elle soit pertinente, il faudrait au moins la raccorder à une réalité (il avait pourtant réussi ça sur District 9 puisque là ça fonctionnait grâce à nos souvenirs sur l'apartheid), mais là c'est pas en me mettant des riches d'un côté, des pauvres de l'autre, dire que le capitalisme c'est déshumanisant que je vais trouver ça subversif ou intéressant.
Là c'est vraiment une vision très puérile ou vulgaire des choses. Potentiel gâché. Comme Oblivion.
Je passe aussi sur l'aspect émotionnel avec les flash back qui sont.... nuls... mais bon ça c'est limite un détail.
commentaire modéré
Pas si grave qu'il n'y comprenne rien à l'american way of life, ce qui reste à prouver, car il n'est pas vraiment question d'américains dans le film. La richesse pour intégrer une tour d'ivoire sans contact avec la crasse du peuple d'en bas, c'est bel et bien une réalité. C'est pour cela que les plus riches, aux USA par exemple, vivent dans des parcs fermés.
commentaire modéré
En voyant cette liste je me rends compte que presque tous les grands m'ont déçu cette année, c'est terrible : Tarantino, De Palma, PTA, Del Toro, Malick, WKW, NWR, Blomkamp, Samsara, Kim Ki-duk... Pas sûr de mettre un seul d'entre eux dans un top 10. En fait je garde Nichols, Bong Joon-ho, les Wachowski et quelques outsiders comme Wright, Wan ou Cianfrance.
commentaire modéré
Belle naïveté de ne s'arrêter qu'à ça, de nier les échanges potentiels, mais encore une fois le problème vient surtout du traitement du monde d'en bas qui ne se base justement sur aucune forme de réalité concrète dans son fonctionnement.
On ne peut pas envisager une société de cette façon, exploiter les gens sans intégrer un espoir au peuple, même faux.
Le discours ici est affreusement limité, d'autant plus je trouve que le concept du héros messianique s'accorde assez mal à la critique.
et enlève Cloud Atlas, Samsara, The Master, A La Merveille et Django au passage :)
les autres films peuvent se défendre sur pas mal de points. Mais elysium je vois pas... a part si on oublie les thématiques, le propos et qu'on se consacre qu'à l'aspect geek quand ça pète. Mais pour le reste... ça me paraît indéfendable un telle vision simpliste des choses.
Je trouve les scènes de baston assez mal foutues dans Elysium. En revanche, la description du monde dans lequel ils vivent m'intéresse vivement : que ce soit la dystopie du monde d'en bas ou l'utopie (tout aussi terrifiante à mon avis, voire plus) du monde d'en haut. Je ne dis pas que je suis d'accord avec cette vision du monde mais j'aime toujours beaucoup qu'on me raconte ce genre d'histoires, j'y lis beaucoup d'angoisses du monde actuel. Je trouve que c'est surtout dans les films d'anticpation qu'on peut trouver un tel retour du refoulé.
Lui au moins il offrait aux personnages une alternative, une perspective d'avenir, une motivation pour "continuer" avec cette idée de l'île.
Ici les personnages n'ont aucun avenir, bosse dans des usines et dans la crasse en se faisant traiter comme de la merde tout le temps, si on leur donne strictement aucune perspective dans le futur d'émancipation, comment peuvent-ils rester soumis sans jamais se révolter ?
Ça n'a aucun sens. Tout ce que veulent les pauvres c'est aller sur elysium pour se soigner. Débile.
Moi aussi j'aime ce genre d'histoire, mais là ça n'a aucune crédibilité.
Les riches n'ont également aucune motivation d'être riche, puisqu'ils sont juste dans leur tour d'ivoire en évitant le plus possible le monde "extérieur", quel intérêt ? Blomkampt n'a pas saisi le principe de l'american way of life.
Si on cherche à s'enrichir c'est avant tout pour affirmer sa supériorité ou à se distinguer des autres, à acheter même les autres pour satisfaire (entre autre) ses appétits lubriques (on aurait pu voir des riches importer des pauvres sur elysium grâce à des filières clandestines). Ici rien. Cette idée d'éviter tout contact avec les pauvres est encore un contre sens absolu.
La symbolique pour qu'elle soit pertinente, il faudrait au moins la raccorder à une réalité (il avait pourtant réussi ça sur District 9 puisque là ça fonctionnait grâce à nos souvenirs sur l'apartheid), mais là c'est pas en me mettant des riches d'un côté, des pauvres de l'autre, dire que le capitalisme c'est déshumanisant que je vais trouver ça subversif ou intéressant.
Là c'est vraiment une vision très puérile ou vulgaire des choses. Potentiel gâché. Comme Oblivion.
Je passe aussi sur l'aspect émotionnel avec les flash back qui sont.... nuls... mais bon ça c'est limite un détail.
On ne peut pas envisager une société de cette façon, exploiter les gens sans intégrer un espoir au peuple, même faux.
Le discours ici est affreusement limité, d'autant plus je trouve que le concept du héros messianique s'accorde assez mal à la critique.