Top Woody Allen

Top Woody Allen

Liste de 29 films par Kikuchiyo
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3 commentaires
  • ProfilSupprime
    commentaire modéré Quatre films de sa période récente, c'est étonnant -as-tu vu des films comme Another Woman ou Crimes et délits (conjuguant ses amours pour Bergman et Tchekhov) ?
    20 avril 2015 Voir la discussion...
  • Kikuchiyo
    commentaire modéré Tu as dû passer un peu vite puisqu'ANOTHER WOMAN figure en 5e position. Vu aussi CRIMES ET DELITS qui aurait peut-être suivi en 11e position puisqu'il est l'un des Allen les plus complexes que j'aie vu dans le propos... mais pas un de ceux qui m'ont le plus enthousiasmé.
    Et oui : la période récente (à partir de MATCH POINT) me plaît. Le cinéaste y cherche mine de rien constamment de nouvelles manières de questionner la capacité de l'homme à vivre heureux. A chaque opus (enfin, à chaque opus réussi), ces nouvelles configurations qui débouchent systématiquement sur un même constat amer (du type "le bonheur - ou l'illusion du bonheur? - aux naïfs ou aux fous) sont comme des détours plaisants qui ramènent vers un même grand questionnement. Donc oui, j'aime VICKY CRISTINA BARCELONA, TALL DARK STRANGER, MINUIT A PARIS ou encore BLUE JASMINE.
    26 septembre 2013 Voir la discussion...
  • ProfilSupprime
    commentaire modéré En effet, je devais certainement être pressé -ou bien simplement aveugle. Cette exploration que tu évoques de la capacité de l'homme a être heureux a parcouru toute son oeuvre à travers sa constante analyse des conséquences de l'insatisfaction sur l'être humain -la seule nouveauté dans cette période récente serait le systématique cynisme comme moteur (ce qui n'est pas un défaut en soi puisqu'il a donné naissance à au moins deux grands films). Il filme désormais des personnages égoïstes, ridicules, toujours névrosés mais bouleversants : il n'y a presque plus de forme d'apaisement possible, seulement d'éparses lueurs d'espoir (le couple âgé de You will meet ..., la signification du nom de Jasmine, etc.). Néanmoins, ce repli vers la cruauté s'est parfois soldé d'un ton un brin professoral que ses oeuvres dites mineures ont su gommer -mais, tout de même, Midnight in Paris, s'il abordait toujours les mêmes questionnements, était une monstruosité, une sorte de musée Grévin animé qui peine à mettre en exergue son ambitieuse idée de départ (le vertige des illusions, la quête d'un bonheur jusque dans l'irréel, etc.). Quant à Blue Jasmine, comme j'en ai parlé un peu partout, je te rejoins sans hésiter pour affirmer que c'est un beau retour !
    20 avril 2015 Voir la discussion...
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