[Top 10] Mes Séries

[Top 10] Mes Séries

Liste de 10 séries par MaxiPatate
| 390 vues  | 4 personnes ont aimé

Pour le peu de séries que j'ai pu visionner...

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18 commentaires
  • MaxiPatate
    commentaire modéré Quoi, un Michael Scott méchant ? J'imagine pas du tout là. L'américain est tellement idiot que je meurs à chaque parole. Dwight est également l'un de mes personnages préférés. En même temps, il est assez mis en avant comme ça. Mais la plupart des autres employés me font rêver aussi, à commencer par Creed Bratton, ou encore Kevin Malone.
    5 janvier 2016 Voir la discussion...
  • typhonpurple
    commentaire modéré Plus cruel que méchant -mais une cruauté involontaire car déguisée en blague. Si tu apprécies l'idiotie, Ricky Gervais va te servir; et lorsqu'il passera à l'émotion, tu seras tétanisé car il y a une vraie finesse des caractères, contrairement au travail pataud de la version américaine. Mais bon, encore une fois, tu verras en temps et en heure :)
    6 janvier 2016 Voir la discussion...
  • typhonpurple
    commentaire modéré (Creed est tellement inutile!)
    6 janvier 2016 Voir la discussion...
  • MaxiPatate
    commentaire modéré Okay, ben j'ai hâte de découvrir ça dans ce cas. Mais la version US est loin d'être grossière. Je trouve le comique ultra fin et subtil dans certaines séquences. Il y a des gags à bon nombre de degrés. Je me sens obligé de me repasser quelques scènes par moments, car je n'ai pas capté l'humour tout entier qui s'y dessine. Bref, j'adore. Et Creed est juste monstrueux. Chacune de ses (courtes) interventions reste un régal.
    6 janvier 2016 Voir la discussion...
  • typhonpurple
    commentaire modéré Creed, c'est vraiment la cerise sur le gâteau, le supplément de plaisir. Il ne sert à rien, sinon à couronner un épisode d'une scène débile et amusante, histoire qu'on garde un bon souvenir de l'épisode. Je ne me souviens pas d'une finesse particulière, que ce soit dans les gags ou dans la caractérisation des personnages. Les personnages secondaires n'ont pas un grand intérêt, il manque une homogénéité à cette série. Mais bon.
    6 janvier 2016 Voir la discussion...
  • itachi
    commentaire modéré Chaque personnage a son interêt puisque le principe de la série repose sur un processus de fraternisation avec ces imbéciles heureux. On est content de recevoir une vanne de Stanley, de Phyllis ou d'Andy car nous les connaissons, nous sommes leurs collègues de bureau, nous appréhendons leurs réactions et c'est également pour cela que les séquences "émotion" fonctionnent, nous les aimons les bougres...
    6 janvier 2016 Voir la discussion...
  • typhonpurple
    commentaire modéré Les séquences « émotion » n’ont pas fonctionné sur moi pendant neuf saisons : peut-être parce que ces personnages (si l’on excepte les quatre principaux : Michael, Jim, Pam et Dwight) ne sont là que pour faire des blagues, ou être le sujet des blagues des autres. Ils sont considérés comme des moyens, non comme des personnages. Voilà une première différence avec la version anglaise, qui, peut-être parce qu’elle bénéficiait d’un casting réduit, pouvait dramatiser ses personnages. Leurs histoires passaient avant les blagues qu’ils pouvaient faire : ils étaient d’abord des personnages, puis des personnages comiques. A partir de là, le processus de fraternisation (@itachi) peut s’effectuer plus efficacement puisqu’il y a une identité partagée entre le spectateur et le personnage.
    6 janvier 2016 Voir la discussion...
  • itachi
    commentaire modéré @typhonpurple : Pour moi la fraternisation (ou du moins une empathie certaine) ne requiert pas forcément une identification. Je n'oppose pas les 2 séries, la britannique à pour elle d'être la précurseuse voilà tout. Elle sont toutes les deux excellentes, et je ne suis pas d'accord lorsque tu expliques que les personnages de la version U.S. ne sont là que pour servir de "gag dropping" :(
    itachi triste.
    6 janvier 2016 Voir la discussion...
  • typhonpurple
    commentaire modéré @itachi Quand j’évoquais une identification, c’était plus une reconnaissance : la reconnaissance, par le spectateur, d’avoir affaire à un individu éminemment singulier similaire à celui qu’il pourrait côtoyer. En ce sens là, les personnages secondaires ne se révèlent comme personnages que lors d’instants fugaces : les histoires de cul de Phyllis et son mari, etc. Par exemple, que reste-t-il, après neuf saisons, de Stanley ? Pas grand-chose… Je pense que la version américaine n’arrive pas à la hauteur de son ambition : elle ne peut pas rendre justice aux personnages qu’elle met en scène car ils sont trop nombreux, bien trop nombreux pour un tel format et une telle prédominance des quatre personnages principaux (alors qu’une série comme Parks and Recreation réussit, grâce à une dramaturgie efficace et une caractérisation plus précise des personnages, à tutoyer les sommets du genre (mon opinion)) ; et parce qu’elle ne peut pas leur rendre justice, elle prend la mauvaise tendance de les réduire à des moyens comiques.
    Typhonpurple triste qu’itachi triste :(
    6 janvier 2016 Voir la discussion...
  • MaxiPatate
    commentaire modéré Mais je vois pas trop ce que tu entends par "caractérisation" ou "identification" typhon. Dans des tas de séries comiques (à commencer par l'animation, puisque je connais pratiquement que ça), t'as toujours des personnages un peu secondaires, présents pour filer un sourire le temps d'une nette intervention. Pourtant ils font partie de la série et on les aime quand même. Dans The Office US, t'as déjà Michael Scott, Jim, Pam (Dwight à la limite) qui restent évidemment le fil rouge de la narration et c'est pas plus mal. Les autres employés ont aussi par moments leurs propres aventures personnelles, mais garder une part de mystère sur eux est un bon moyen pour souligner chaque gag je trouve. On s'en fout de savoir qui sont réellement Creed, Stanley ou Meredith (quoi que la série nous en dit un peu plus à chaque épisode). Ainsi, la blague fonctionne. Qui plus est, tous ces persos demeurent intimement liés entre eux (parce qu'ils font souvent progresser le récit), et à nous (puisqu'à chaque début d'épisode, je suis heureux de retrouver mes collègues et mon bureau).
    6 janvier 2016 Voir la discussion...
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