“ Objets anodins, personnages névrosés... Preminger casse nos certitudes et sème le doute. Jusqu'au final placé sous haute tension. Magistral! ”— Jylm3318 mai 2017
“ Entre rêve éveillé et thriller anxiogène, se brouille la réalité. Sur les rivages obscurs de l’éternelle enfance, autopsie d’une psychose. ”— cath4415 mai 2017
commentaire modéré
Thriller « psychanalytique » explorant une pathologie mentale, plongée dans l’onirisme, , une atmosphère quasi fantastique , mêlée de poésie , pour tout cela ce film m’a beaucoup plu. On est plongé dès le début dans les fausses pistes, le doute, la suspicion, autour de la réalité de ce que l’on perçoit…du début à la fin, c’est une progression dans l’angoisse, où participent l’inquiétante étrangeté de différents lieux ou personnages, jusqu’au dénouement. Merci encore car c’est sublime.
“ Objets anodins, personnages névrosés... Preminger casse nos certitudes et sème le doute. Jusqu'au final placé sous haute tension. Magistral! ”— Jylm3318 mai 2017
commentaire modéré@bredele tu as raison sur ce point mais ce n'était pas pour me déplaire. J'ai été sensible à d'autres choses aussi , la poésie de ce film .j'ai retrouvé un commentaire de Jacques Lourcelles " la force de Bunny Lake a disparu vient de la manière dont « le film se dépouille progressivement de ses enveloppes - celles du film policier, du film à suspense, du film psychiatrique, voire du film d’atmosphère fantastique - pour révéler en son centre, en son noyau, quelque chose qu’à défaut d’autre appellation on nommera poésie. »