Le Chœur de Tokyo
(1931)
un film de
Satisfaction communauté 54%
Le Chœur de Tokyo

Le Chœur de Tokyo

(1931)
un film de
Ce qu'en pense la communauté
  • 54%
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Micro-critique star (juliendg) :
juliendg
(à propos de Le Chœur de Tokyo)
Sa note :
Le Chœur de Tokyo “ Pression sociale, pression économique, pression éthique, puis grande dépression. It's hard times in the country, living down in Tokyo Town. ” — juliendg 23 juin 2013
2 commentaires
  • georges.b1
    (à propos de Le Chœur de Tokyo)
    Sa note :
    Le Chœur de Tokyo “ Mélodrame‚ conflit entre valeurs traditionnelles et pressions sociales‚ allégorie sur la crise économique du Japon‚ O affirme sa maîtrise ! ” — georges.b1 30 janvier 2019
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  • AkirhanSoliste
    (à propos de Chœur de Tokyo)
    Sa note :
    Chœur de Tokyo “ Ozu, le Spielberg Japonais ! Donner vie à une simple tranche de vie tient du talent, chômage, famille et solidarité sont sujets ! ” — AkirhanSoliste 18 janvier 2015
    6 commentaires
  • juliendg
    (à propos de Le Chœur de Tokyo)
    Sa note :
    Le Chœur de Tokyo “ Pression sociale, pression économique, pression éthique, puis grande dépression. It's hard times in the country, living down in Tokyo Town. ” — juliendg 23 juin 2013
    2 commentaires
    • juliendg
      commentaire modéré Revu aujourd'hui, soit dix ans plus tard. La scène d'ouverture invite assez naturellement à la comparaison avec Chaplin, que le contexte de dépression économique rend d'autant plus logique. Alors certes, les personnages d'Ozu sont 'seulement' en voie de déclassement là où le Tramp est déjà tombé bien plus bas sur l'échelle de la dèche, mais on ne peut s'empêcher de noter que là où, chez Chaplin, la misère et l'instinct de survie poussent à l'individualisme, ils sont chez Ozu le déclencheur d'actes de solidarité désintéressés tous plus beaux et plus simples que les autres. Si la question de la dignité (cacher ce qu'on est, prétendre être ce qu'on n'est pas) est présente chez les deux réalisateurs, c'est au fond deux visions de l'humanité qui s'opposent. Avec quelques verres dans le pif, on pourrait aller jusqu'à dire que c'est le match Hobbes-Rousseau qu'on nous rejoue là : l'homme est-il un loup pour l'homme, ou est-il au contraire fondamentalement bon ? Chaplin a la comédie noire, Ozu le drame lumineux.
      28 août 2023 Voir la discussion...
    • Ochazuke
      commentaire modéré Joli !
      31 janvier 2024 Voir la discussion...
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