Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (MFlorian38) :
MFlorian38
(à propos de Goyōkin)
“ À l'esthétisme rédemptrice, globules enneigés, en l'honneur abstrait. Indulgence et châtiments, la colère de la dignité humaine: corbeau. ”
— MFlorian38
19 juin 2021
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MFlorian38
(à propos de Goyōkin)
“ À l'esthétisme rédemptrice, globules enneigés, en l'honneur abstrait. Indulgence et châtiments, la colère de la dignité humaine: corbeau. ”
— MFlorian38
19 juin 2021
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KingPanda
commentaire modéré @MFlorian38 Il fait partie de mes prochains objectifs qui attendent sagement dans le dossier Torr*nt :)21 juillet 2021 Voir la discussion... -
MFlorian38
commentaire modéré @KingPanda Et bien, la recommandation de la part d'un ami cinéphile, passionné du cinéma japonais depuis bien longtemps, est l'essentiel. Tu vas tombé sous le charme du film (je l'espère).21 juillet 2021 Voir la discussion...
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KingPanda
commentaire modéré @MFlorian38 Je vais être privé de ciné pendant une semaine ou deux donc un peu de temps pour le voir. Je te dirai ce que j'en ai pensé !21 juillet 2021 Voir la discussion...
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Ochazuke
(à propos de Goyōkin)
“ Devoir et rédemption : gestes et signes épurés calligraphiés sur toile blanche. La mort s’abstrait, l’honneur est vie, le genre devient Art ”
— Ochazuke
19 avril 2018
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Ochazuke
commentaire modéré @bredele Merci :) Mais en fait c'est justement ce que je reproche un peu à ce film : l'esthétisme est au-dessus du montage narratif, scènes parfois trop prévisibles ou longues alors que nous avons de purs moments esthétiques, avec l'arrivée d'un titre sublime, des décors & cadrages magnifiques. Et sur ce point il transcende le genre chambara en lui offrant ce qui lui manquait, une noblesse
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cath44
(à propos de Goyōkin)
“ Dans la neige a coulé le sang des enlevés des dieux. Avec droiture et honneur, le samouraï retrouvera la voie du guerrier et le pardon. ”
— cath44
15 avril 2021
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cath44
commentaire modéré Goyokin est un chanbara, genre cinématographique des combats de sabre. Le film met en scène de très beaux combats, dans des lieux et situations différente : le feu, la neige, l’eau et la boue …., Au japon le « Chanbara » équivaut au western ou aux films de capes et d'épées. Chambara et western ont plus d’un point commun ( on ne peut en effet que remarquer de nombreuses similitudes entre Goyokin et Le Grand Silence de Sergio Corbucci , quant à la fin du film, elle évoque L’Homme des Hautes Plaines . par ex. Le personnage typique du Chambara est le samouraï ou le ronin, ce dernier appartenant davantage à une hiérarchie établie selon les codes du Bushido. Gosha a profondément transformé le visage du chambara , en en faisant une lecture désenchantée, un monde où les samouraïs trahissent les codes du Bushido, pour l’appât du gain. Le héros du film Magobei est en quête de rédemption, cherche à apaiser sa conscience , à réparer le mal qui a été fait car comme il le dit lui-même, il est « mort le jour où il n’a pas utilisé sa lame pour faire ce qui était juste », où il a transgressé le code du Bushido. Les « enlevés des dieux » sont les paysans assassinés dans un massacre qu’il n’a pas pu empêcher.
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