“ La chair se nourrit pour se vendre puis se nourrir... Le vice vénal devenu cercle interdit d’échapper au trou. Amour damné, horizon abyssal ”— Ochazuke29 avril 2018
“ La chair se nourrit pour se vendre puis se nourrir... Le vice vénal devenu cercle interdit d’échapper au trou. Amour damné, horizon abyssal ”— Ochazuke29 avril 2018
commentaire modéré
Génial ! Deux films déjantés et encore deux ambiances très différentes ! Je connaissais La marque du tueur dont le côté nouvelle vague est hilarant mais la Jeunesse de la bête m'a étonné par sa gravité malgré la légèreté de la forme
“ Le tumulte de l'après guerre fait naître la bataille pour la survie, Dictée par des lois intrinsèques plus fortes que l'amour et l'envie ”— djobaka 2 mai 2018
“ Suintant la chair et le vice, des femmes de petites vertus se condamnent à l'opulence masculine, parabole de résilience traumatique colorée. ”— Joe_Shelby 6 mars 2019
commentaire modéré@djobaka Ah oui c'est vrai que ça peut paraître confus. 3,5 dans mon système de notation s'assimile à "une oeuvre vue, appréciée pour ses idées et sa mise en scène, donc supérieure à la masse normale MAIS non exempt d'anomalies qui m'empêche d'adhérer complètement au propos du film. Bon mais avec des défauts ".
Japon
-
1h30
-
Drame
Titre original : Nikutai no mon
Sortie
le 31 mai 1964
Synopsis
Après la Seconde Guerre mondiale, dans un Japon meurtri, cinq prostituées vivent en groupe dans un ghetto de Tokyo. Telle une famille unie, elles défendent leur territoire et leurs intérêts communs. Mais l'arrivée d'une nouvelle fille et d'un ancien soldat blessé pourrait mettre en péril leur unité.