r Très Bien
Max et les ferrailleurs
(1971)
un film de
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Satisfaction communauté 82%
Max et les ferrailleurs

Max et les ferrailleurs

(1971)
un film de
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Micro-critique star (blacktide) :
blacktide
Sa note :
Max et les ferrailleurs “ Dans les fêlures du bas-fond, les obsessions se maquillent et les regards s'emmêlent. Au délit de justice se dérobe un charme tout risque. ” — blacktide 2 juin 2020
3 commentaires
  • blacktide
    Sa note :
    Max et les ferrailleurs “ Dans les fêlures du bas-fond, les obsessions se maquillent et les regards s'emmêlent. Au délit de justice se dérobe un charme tout risque. ” — blacktide 2 juin 2020
    3 commentaires
    • cath44
      commentaire modéré Très belle MC .Beaucoup de nostalgie .
      2 juin 2020 Voir la discussion...
    • blacktide
      commentaire modéré Merci beaucoup @cath44 ;-) Et oui, nostalgie en repensant à Piccoli, à Dabadie, à ces regards qui bouleversent et ces dialogues incisifs, à la beauté de Romy et à cette grâce qui émerge dans la noirceur.
      2 juin 2020 Voir la discussion...
    • cribeyre
      commentaire modéré Mmm j'ai envie d'essayer même si je ne suis pas sûr d'aimer plus que ça le cinéma de sautet l'ayant découvert avec les choses de la vie quand ils ont fait l'hommage
      3 juin 2020 Voir la discussion...
  • sudroxaz
    Sa note :
    Max et les ferrailleurs “ Romy est ce lys pur dans un bain, ce ciré noir, ce fard à paupières bleu, ce regard inrouillable qui te prit en flagrant délit, en détresse. ” — sudroxaz 19 août 2019
    5 commentaires
    • Bosco
      commentaire modéré @sudroxaz Je trouve le cinéma de Sautet bien fait, mais dénotant trop son époque pompidolo-giscardienne - giscardienne surtout - jusqu'à en faire son style par ses histoires de bourgeois, au fond très sentimental, qui parfois, comme ici, portent une attention aimable à un petit peuple français bien gentil dans le fond -mais en marquant en ce cas une distance coupable, une méchanceté bien réalisée par Max, le flic manipulateur. Et le personnage de Romy Schneider est ici filmée, comme en trop d'autres de ses films malheureusement, sous son profil profil le moins fin, celui de belle pute à beau cœur. Tout cela est bien ficelé mais un peu chargé à mon goût de ces conventions du temps et états d'âme d'un milieu qui balisent le scénario -des conventions qui peuvent être jouées plus habilement -qui l'ont été bien entendu-, qui perdurent certainement quoique se portant sous de nouveaux objets avec toujours ce même fond de sauce de culpabilité secrète et de sentimentalité affichée.
      19 août 2019 Voir la discussion...
    • sudroxaz
      commentaire modéré @Bosco Avant même de commencer Sautet, je connaissais cette réputation de "cinéaste de la bourgeoisie" qu'on lui prête. Certes cela reste sa marque de fabrique de dépeindre son époque surtout giscardienne comme tu dis, et certains sujets reviennent toujours : l'amitié, l'argent, les voitures et accidents. Ce rôle de Romy est l'un des plus importants de sa carrière, car il lui a permis de quitter cette image de petite fille sage (qui lui collait à la peau depuis Sissi) et d'acquérir une image de femme libre, mystérieuse, insondable. Sautet reprend un an plus tard le couple Piccoli Schneider des Choses de la vie dans un registre presque opposé ici, surtout pour le traitement du personnage de Romy. Et pour ce qui est de la culpabilité secrète, qui éclate donc au grand jour par un jeu de regard, c'est tout le sel du film. Celle d'un homme qui rêve de faire un "beau flagrant délit", mais qui ne pourra se réjouir de la réalisation de son rêve, car le piège qu'il avait manigancé se referme sur lui. Sa faille, pourtant élément indispensable dans la bonne orchestration du piège, c'est Romy elle-même. Ce qui est fou, c'est que Piccoli se retrouve piégé en piégeant Romy qui croyait elle-même avoir piégé Piccoli. Un canevas délicieux. Une fois de plus chez Sautet, tout se ressent par un jeu de regard final (comme chez Chazelle, de nos temps). C'est ce qui me plaît, ces corps bouillonnant d'émotions, d'amertume, de honte, de détresse. Et ces non-dits, ces regards, miroirs d'âmes trahie ou honteuse.
      19 août 2019 Voir la discussion...
    • Bosco
      commentaire modéré Tu défends bien Sautet. Je n'avais rien lu sur le côté "bourgeois" des films de ce réalisateur. Cela m'avait sauté aux yeux dès que j'ai vu ses films - presque sans y réfléchir d'ailleurs. C'est une question de signes distribués, et maintenant, quand je le revois, d’esthétique. Cela s'observe clairement dès son second film (je n'ai pas vu le premier) -par ailleurs intéressant- "Classe tout risque" où Lino, bandit en cavale, forme avec Sandra Milo un couple doté d'enfants bourgeoisement classique. Note que je n'ai pas grand-chose contre le mode de vie et l'état d'esprit bourgeois, ce sont là avant tout des faits sociologiques et psychologiques incontestables. Ce qui m'irrite, en littérature, au cinéma, c'est que l'on interprète une partition subtilement critique en la jouant sur de lourdes notes conventionnelles qui vous échappent. On échappe en effet difficilement à sa classe et à sa fausse bonne conscience. C'est du reste pourquoi les bourgeois qui ne peuvent plus guère en nos temps recourir au catholicisme tournent à gauche.
      20 août 2019 Voir la discussion...
  • ianov
    Sa note :
    Max et les ferrailleurs “ Sautet s'apprécie dans le secret, inavouable passion d'une sincérité absolue, de la fragilité des femmes, de la rugosité des hommes. Une vie ” — ianov 25 juin 2017
    2 commentaires
    • ianov
      commentaire modéré Souvent, ce penchant mélodramatique, souvent cet élan, souvent ce cinéma m'aura valu une volée de bois vert auprès de certains cinéphiles, tirant à boulets rouges sur la vieillerie supposée de Sautet. Non..désolé...Sautet est, sera reconnu comme un grand..j'en suis absolument sûr.
      25 juin 2017 Voir la discussion...
    • cath44
      commentaire modéré @ianov je l'espère ; Max ..... un autre grand film de Sautet.
      25 juin 2017 Voir la discussion...

Casting de Max et les ferrailleurs

Infos sur Max et les ferrailleurs

Réalisé par Claude Sautet

France - 1h52 - Thriller
Sortie le 17 février 1971

Synopsis

Un policier décide d'arrêter une bande de malfrats amateurs. Il leur tend un piège afin de pouvoir les surprendre en flagrant délit.

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