Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (Bosco) :
Bosco
(à propos de Silent)
“ En couleurs musiquées, l’animation contemporaine donne un coup de chapeau de paille au cinéma des premiers âges - en glissant des messages. ”
— Bosco
2 février 2020
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cath44
(à propos de Silent)
“ La magie des images en mouvement et leur enveloppe sonore nous transportent en trois minutes dans l’histoire émouvante du cinéma. ”
— cath44
31 mars 2017
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Mlle_Leah
commentaire modéré @cath44 Merci de me l'avoir fait découvrir, je connaissais le personnage des Fantastiques livres volants de M. Morris Lessmore et je ne savais pas qu'il avait d'autres courts métrages avec lui ! D'ailleurs je te conseille Luminaris, dans le programmes de courts métrages qui s'appelle aussi Les Fantastiques livres volants de M. Morris Lessmore. La technique est théoriquement simple, mais au final assez folle !31 mars 2017 Voir la discussion... -
bredele
commentaire modéré @cath44 une bien jolie promenade pleine de références, merci Cath.31 mars 2017 Voir la discussion... -
cath44
commentaire modéré @Mlle_Leah C'est la première fois que découvrais le personnage de M. Morris Lessmore et je te remercie beaucoup pour le conseil @bredele merci à toi.1 avril 2017 Voir la discussion...
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Bosco
(à propos de Silent)
“ En couleurs musiquées, l’animation contemporaine donne un coup de chapeau de paille au cinéma des premiers âges - en glissant des messages. ”
— Bosco
2 février 2020
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Bosco
commentaire modéré Du fait de ses glissantes évolutions et de son dessin en 3D, le personnage à canne et chapeau de paille qui évolue sur l’écran évoque la mascotte de la régie de publicité Médiavision : le fameux petit mineur muni d’un pic et coiffé d’un casque de cuir bouilli, et cela plus encore que Charlie Chaplin. Cette référence au court moustachu coiffé d’un chapeau melon, elle explicitement donnée d’entrée, est du reste relookée à l’air du temps diversitaire et féminisateur puisque l’enfant joueur d’orgue à grosse casquette citrouille référant au Kid du film éponyme de Chaplin perd son couvre-chef en fin de film et apparaît -ce qui n’était pas clair précédemment- comme étant une fillette de couleur. Si je ne me trompe pas en rapprochant le générique de Médiavision et cette courte animation de moins de trois minutes (cf. notamment, les scènes analogues d’entrées et de salles de cinéma -d’écran dans l’écran), Silent en dit beaucoup en peu de temps sur les liens que l’industrie cinématographique et le monde de la pub entretiennent avec les idéologies en vogue. Des idéologies qu’elles portent et promeuvent, dans en un même mouvement d’entertainment, comme en surfant sur la pellicule et nos cerveaux, sans y laisser de traces nettement perceptibles, sans un mot. Silent : Magic, Isn’it?
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Bosco
commentaire modéré Voici les liens qui ilustrent mon commentaire : https://www.youtube.com/watch?v=qBpA-BYxjZ8
https://www.youtube.com/watch?v=KA6azZALMiE
Voir aussi l’intéressant intitulé ( Fashioning New Ideas… ) du compte Twitter de Limbert Fabian :
https://twitter.com/...serp%7Ctwgr%5Eauthor
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spider19
(à propos de Silent)
“ Pas besoin de mots pour ressentir des émotions. Le passé et le futur se combinent et ça fait quelques étincelles. ”
— spider19
23 mars 2017
