Sud Eau Nord Déplacer

(2014)

un film de Antoine Boutet

Ce qu'en pense la communauté

53%
16 notes
7 veulent le voir

Micro-critique star (Gebe) :

(à propos de Sud Eau Nord Déplacer)

Sa note :

“ Dans la contemplation plastique d’un monde marchant sur la tête surgit un cinéma direct, l'intrusion du chant et des cris d'un drame humain. ” — Gebe 29 octobre 2015

Commenter

Gebe
(à propos de Sud Eau Nord Déplacer)

Sa note :

“ Dans la contemplation plastique d’un monde marchant sur la tête surgit un cinéma direct, l'intrusion du chant et des cris d'un drame humain. ” — Gebe 29 octobre 2015
Commenter
Thibaut_Fleuret
(à propos de Sud Eau Nord Déplacer)

Sa note :

“ Un docu exceptionnel aux cadres parfaits et à la construction exemplaire pour un savant mélange d'abstraction et de politique. ” — Thibaut_Fleuret 4 février 2015
Commenter
lalaitou
(à propos de Sud Eau Nord Déplacer)

Sa note :

“ Impressionisme humaniste ! Si jte jure ! ” — lalaitou 4 mars 2015
1 commentaire
- Gebe
  
  commentaire modéré @lalaitou C’est tout à fait ça, il faut le voir pour le croire (ta mc m'avait laissé un peu perplexe avant de le voir) !
  C’est vraiment un docu pour toi en tout cas, un mélange savoureux de tout ce vers quoi tu veux tendre je suppose ?! Est-ce que tu as vu « Still life » de Jia Zhang-ke ?
  29 octobre 2015 Voir la discussion...
commentaire modéré
à l'instant Voir la discussion...

Infos sur Sud Eau Nord Déplacer

Réalisé par Antoine Boutet

Chine, France - 1h50 - Documentaire
Titre original : Sud eau nord déplacer
Sortie le 28 janvier 2015

Synopsis

Le Nan Shui Bei Diao – Sud Eau Nord Déplacer – est le plus gros projet de transfert d’eau au monde, entre le sud et le nord de la Chine. Sur les traces de ce chantier national, le film dresse la cartographie mouvementée d’un territoire d’ingénieur où le ciment bat les plaines, les fleuves quittent leur lit, les déserts deviennent des forêts, où peu à peu des voix s’élèvent, réclamant justice et droit à la parole. Tandis que la matière se décompose et que les individus s’alarment, un paysage de science-fiction, contre-nature, se recompose.