Henri-Georges Clouzot et Herbert von Karajan
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Torrebenn
“ La rencontre de deux génies dans une symphonie de gestes maîtrisés et d'une sobriété calculée. Rien en trop, puisque tout a été réglé avant. ” — Torrebenn 21 avril 2016 -
2(1967)1h231 micro-critique | Sa note :
Torrebenn
“ Filmer Karajan quelques années à peine après son Enfer donne à Clouzot un aperçu de ce qui lui a manqué : une emprise absolue sur une oeuvre ” — Torrebenn 5 novembre 2017 -
327m1 micro-critique | Sa note :
Torrebenn
“ L'ampleur des gestes aériens de Karajan ne trouve d'alter-ego que dans l'application méticuleuse de Clouzot le filmant, libre comme l'Art. ” — Torrebenn 27 novembre 2017 -
41h061 micro-critique | Sa note :
Torrebenn
“ Karajan plaque son germanisme minutieux à l'orientalisme enfiévré de la Mitteleuropa de Yehudi Menuhin. Au service de Dieu Mozart, l'Unique. ” — Torrebenn 27 novembre 2017 -
53 micro-critiques | Sa note :
Torrebenn
“ Herbert von Clouzot associant à son génie celui d'Henri-Georges Karajan. Un Nouveau Monde s'ouvre devant vous ! ” — Torrebenn 27 novembre 2017
![[SUITE] LE CINE CLUB DE VK : JE DIS... DE L'ANGOISSE !](https://aws1.vdkimg.com/vk_list/1/4/3/6/1436403_photo_scale_380x88.jpg)
Du genre : "Je ne réussis pas à dire ce que je veux dire, mais comment d'autres sont capables de le faire ?"
Et cette rencontre avec von Karajan (un autre vilipendé de la période 1933-1945, tout comme Clouzot, mais à un niveau plus violent et je pense plus "mérité") est sublime, c'est magnifique, inégalé, précieux ...