Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (cinephile54) :
cinephile54
(à propos de Les Invasions barbares)
“ Comme la Vie, le film alterne entre moments tristes et gais. A l’heure du bilan, doux rush final, envie de retrouver la première fois... ”
— cinephile54
29 avril 2021
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cinephile54
(à propos de Les Invasions barbares)
“ Comme la Vie, le film alterne entre moments tristes et gais. A l’heure du bilan, doux rush final, envie de retrouver la première fois... ”
— cinephile54
29 avril 2021
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IMtheRookie
(à propos de Les Invasions barbares)
“ Le spleen de vieux bobos québécois qui n'ont rien fait et ne feront rien d'autre que pleurer un monde dans lequel ils n'ont pas vécu. ”
— IMtheRookie
28 octobre 2011
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3zaza
commentaire modéré j'ai trouvé ce film très joyeux. qui n'aimerait pas prendre un peu d'opium pour adoucir ses vieux jours ?
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MFlorian38
(à propos de Les Invasions barbares)
“ On s'enregistre sur vidéo caméscope en pleurant et on te dit au revoir, à bientôt, à la prochaine, adieu. ”
— MFlorian38
31 mars 2024
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MFlorian38
commentaire modéré Les Invasions Barbares (2003) de Denys Arcand est plus qu'un film testamentaire consacré sur le deuil, les regrets familiaux dont les chroniques de leur fonction sociale seront moribonds et une cinématographie moralement sage à sa sagacité du réel imité naturellement. C'est un film canadien sur le changement inévitable de la mort et ses circonstances, de mémoires écroulées dont les ruines d'antan ouvrent un monde en proie aux crises économiques, à la philosophie de la nostalgie inexistante et une bureaucratie insécure. Une satire que le cinéaste cherche à observer son monde au bord des attaques et des guerres à venir avec mépris mais sans aucun jugement à ces personnages voulant recommencer à zéro après les relations secouées, reconstruire son futur après le déclin restera-t'il érudit, debout même sous l'humiliation de sa tragédie banale mais fiévreuse ? Si la convalescence ne peut être rétabli, la critique du système sanitaire influence sa longueur suffisante pour briser les fêlures du champ ouvert des personnages. Voué à la disparition de la civilisation, les parts de vie manquant de substances ont ce quelque chose de touchant, une envie de vivre ce présent avant son décès, garder ces empreintes pour moins regretter le temps passé ensemble. On s'enregistre en caméscope et on dit au revoir, à bientôt. Le défunt garde les sourires, les plaisirs avec lui, il partira. Œuvre sur l'euthanasie, le suicide assisté, la reconstruction des racines du lendemain, à la promesse des morts; profond, sa narration étoffée, maladroite mais humainement honnête.
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MFlorian38
commentaire modéré Une personne âgée socialiste telle la cinquantaine dans un lit d'hôpital et sa famille inquiète de l'avenir, les poètes traditionnelles n'ont plus d'effet vacant dans cette ensemble de la mort inévitable où tout change, même les principes paternelles meurent sagement avec regrettable et tristement. Nostalghia d'urgence pour démesurer les remplacements afin de fonder une utopie quelconque, la philosophie du déclin n'a d'enclin que la rétrospection ouverte de leurs cicatrices, la disparition proche à sa fin euthanasiée.
On s'enregistre en vidéo caméscope et on dit au revoir, à bientôt, adieu.
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Dominique Michel
Isabelle Blais
Sophie Lorain
Mitsou Gélinas
Markita Boies
Micheline Lanctôt
Sylvie Drapeau
Dominique Darceuil
Lise Roy
Mcha Grenon
Rose-Maïté Erkoreka
Janique Kearns
Sofa De Medeiros
Bonnie Mak
Anna-Marie Sutherland
Dawn Lambing
Karen Hader
Valérie Jeanneret
Julie Tu
Rémy Girard
Stéphane Rousseau
Pierre Curzi
Yves Jacques
Toni Cecchinato
Denis Bouchard
Jean-Marc Parent
Yves Desgagnés
Gilles Pelletier
Jean-René Ouellet
Gaston Lepage
Daniel Brière
Sébastien Huberdeau
Roy Dupuis
David Cow
Sébastien Ricard
Sean Lu
Éric Paulhus
Alain Bruno
Jean Antoine Charest
Kenneth Fernandez
Jacques Caron
Shawn McPherson
Johanne-Marie Tremblay
Denys Arcand
Fanny Mallette
Frédéric Gilles
Macha Grenon
David Gow
Dominic Darceuil
Valérie Wiseman
Julie Beauchemin
François Domerc
![Des films bien sur Netflix [MAJ 08/04/21]](https://aws.vdkimg.com/film/2/4/6/5/2465_backdrop_scale_380x88.jpg)
« L'amitié »
Beaucoup de mes amis sont venus des nuages
Avec soleil et pluie comme simples bagages
Ils ont fait la saison des amitiés sincères
La plus belle saison des quatre de la Terre
Ils ont cette douceur des plus beaux paysages
Et la fidélité des oiseaux de passage
Dans leurs cœurs est gravée une infinie tendresse
Mais parfois dans leurs yeux se glisse la tristesse
Alors, ils viennent se chauffer chez moi
Et toi aussi, tu viendras
Tu pourras repartir au fin fond des nuages
Et de nouveau sourire à bien d’autres visages
Donner autour de toi un peu de ta tendresse
Lorsqu’un autre voudra te cacher sa tristesse
Comme l’on ne sait pas ce que la vie nous donne
Il se peut qu’à mon tour je ne sois plus personne
S’il me reste un ami qui vraiment me comprenne
J’oublierai à la fois mes larmes et mes peines
Alors, peut-être je viendrai chez toi
Chauffer mon cœur à ton bois