commentaire modéré
Oui oui, “Comment Hitchcock m’a guéri””, j’aime beaucoup, j’en parlais déjà lors d’une ancienne news VK : http://www.vodkaster...deurs/Hitchcock-3414 .
J’ai surtout été passionné par “Psychanalyse de l’image (Des premiers traits au virtuel)” du même Tisseron, car, comme toi, je suis passionné par cette thématique visage de la mère / écran. D’une manière générale, les psychanalyses de la petite enfance, et même intra-utérines, me fascinent au plus haut point : Winnicott, Klein, Anzieu… presque des idoles :) Ainsi que la transmission générationnelle des névroses, l’inscription de celles-ci dans une sorte d’espace-temps familial presque plastique, les “fantômes” d’Abraham et Török…
Merci beaucoup pour le conseil de lecture lacanien, je commencerai par là.
Mes petits conseils de lecture perso, dans le même genre que le livre de Tisseron : “Comment Woody Allen peut changer votre vie” d’Éric Vartzbed, au Seuil. Amusant et sérieux, léger. Un petit plaisir. Et, plus philosophique, plus sociologique, “L’Écran global (Du cinéma au smartphone)” de Gilles Lipovetsky et Jean Serroy. Très intéressante étude de ce qu’ils l’appellent “l’écranisation”, avec à la clef des analyses temporelles aux échelles différentes (personnelle, humaine, technologique, etc, etc…).
Vivement le 5 mai que l’on discute de tout ça en live !
commentaire modéré@cath44 Mais oui, bien sûr que c'est sous cette m-c que tu m'avais conseillé de la lecture lacanienne. Encore merci pour toutes ces recommandations, je reviendrai ici te faire part de mes impressions :).
“ L'Enfance Nue, chronique douce-amère d'une innocence arrachée. Pialat pose un regard sans concession sur cette jeunesse perdue. Touchant. ”— FreshBUZZ1721 mars 2016
“ La sécheresse de l'image-témoignage contraste avec la chaleur d'un monde prolétaire si à même d'offrir de l'amour à une jeunesse désorientée ”— Thomaschry 1 février 2017
“ Sans concession, séduction ou apitoiement, Pialat filme l'enfance orpheline comme si c'était la sienne, comme si c'était la nôtre. ”— youliseas30 mai 2017
“ Captation brute d'une enfance singulière autant que du monde paysan de l'époque, L'enfance nue est illuminé d'instants de vérité humaniste. ”— A_Nos_Amours29 décembre 2014
commentaire modéré
Je dirais moins paysan que minier : le film se passe dans le nord et on ne cesse de voir en fond, les terrils comme des montagnes menaçantes. Mais sinon, je ne retire rien de tout ce que tu dis. Ce film est bouleversant.
“ Époustouflant par son style et par un humanisme à fleur de peau, Pialat capture miraculeusement un naturalisme bouleversant. Immense. ”— TrueCine11 avril 2017
“ Pour filmer la colère, il faut d'abord poser la caméra devant. Puis, il faut être Pialat pour en faire du cinéma, avec cruauté et tension. ”— elge16 décembre 2014
“ Malgré un jeu d'acteurs très discutable, une émotion forte se dégage; tel une lumière salvatrice au milieu de ce brouillard de maladresses. ”— Salah1R18 avril 2017
“ L'Enfance nue de Pialat devient d'autant plus bouleversante qu'elle ne cherche jamais l'apitoiement mais involontairement le trouve. ”— Nathanlemec11 janvier 2014
“ Boulversant d'autant + c'est un peu l'histoire de ma mère et dans la même region. Parallèle évident avec les 400 coups de Truffaut. ”— nicolas_5900029 novembre 2015
“ Vues d'en bas les bêtises sont des crimes qu'on ne guérit qu'en chansons. Au pays des hommes, il n'y a de digne que l'enfance. ”— IMtheRookie15 juillet 2012
“ Une œuvre revêche mais non privée de sensibilité‚ où l’enfant est perçu comme un individu entier‚ complexe‚ lent‚ fuyant ! ”— georges.b115 septembre 2015
“ On dirait le film d'un cinéaste chevronné envoyant valser les codes de la narration classique. Seule la captation du plan compte. Puissant ”— rom5017 octobre 2015
“ Par son naturel et sa spontanéité, ce drame social te happe dès les premières secondes et ne te quitte plus. L'Enfance-nue colle à la peau. ”— BLT 8 juillet 2013
“ L'absence de la nostalgie sert l'âpreté du regard tandis que les corps s'assemblent sur les résidus de la société. L'amour existe, dit-il. ”— jacquesbon 8 novembre 2011
“ Une enfance écorchée vive, voué à l'échec et déjà à l'innocence pervertie. Pialat démarre et donne le ton : la vérité crue. Poignant. ”— WillValmontcine14 août 2016
“ L'enfance nue met à nu la grande sensibilité d'un réalisateur de génie en devenir. Un Pialat direct et touchant, mais qui se cherche encore. ”— TaoChess 2 juin 2013
“ Pas aidé par un cast ramolo d'la guibole, Pialat balbutie ses débuts tout en laissant entrevoir la suite, le meilleur est à venir. ”— Store 5 octobre 2014
“ Un film trompeur, entre violence et tendresse, et d'un réalisme qui effraie ! Un jeu un peu bancal pour un film qui a mal vieillit. ”— Tomm20 février 2013
Après plusieurs tentatives auprès de familles d'accueil, un gamin de l'Assistance publique trouve compréhension et réconfort auprès d'un vieux couple. Malheureusement il provoque un accident de la circulation. Il est envoyé dans un centre de redressement...
J’ai surtout été passionné par “Psychanalyse de l’image (Des premiers traits au virtuel)” du même Tisseron, car, comme toi, je suis passionné par cette thématique visage de la mère / écran. D’une manière générale, les psychanalyses de la petite enfance, et même intra-utérines, me fascinent au plus haut point : Winnicott, Klein, Anzieu… presque des idoles :) Ainsi que la transmission générationnelle des névroses, l’inscription de celles-ci dans une sorte d’espace-temps familial presque plastique, les “fantômes” d’Abraham et Török…
Merci beaucoup pour le conseil de lecture lacanien, je commencerai par là.
Mes petits conseils de lecture perso, dans le même genre que le livre de Tisseron : “Comment Woody Allen peut changer votre vie” d’Éric Vartzbed, au Seuil. Amusant et sérieux, léger. Un petit plaisir. Et, plus philosophique, plus sociologique, “L’Écran global (Du cinéma au smartphone)” de Gilles Lipovetsky et Jean Serroy. Très intéressante étude de ce qu’ils l’appellent “l’écranisation”, avec à la clef des analyses temporelles aux échelles différentes (personnelle, humaine, technologique, etc, etc…).
Vivement le 5 mai que l’on discute de tout ça en live !