Après son premier court métrage D-Day en 2000, son second court métrage The Hell remporte le prix Asian Ghost au Festival Short Shorts. Son court métrage suivant, Love is Protein, est ensuite projeté en compétition au Festival International du Court Métrage Curtocircuito à Santiago de Compostela en 2009, et invité la même année au Festival Mauvais Genre, à Tours.
The King of Pigs est son premier long métrage.
La péninsule se déroule quatre ans après Train to Busan, alors que les personnages se battent pour fuir un pays en ruine à la suite d'un désastre sans précédent.
Seok-heon a un travail de garde de sécurité bancaire. Un jour, il acquiert soudainement des pouvoirs psychokinésiques. Avec cela, il est capable de contrôler les objets inanimés à ...
Un virus inconnu se répand en Corée du Sud, l'état d'urgence est décrété. Les passagers du train KTX se livrent à une lutte sans merci afin de survivre jusqu'à Busan, l'unique vill...
Suk-gyu cherche désespérément sa fille fugueuse. Mais non loin de là, la panique éclate à "Seoul Station", un endroit très populaire auprès des sans-abri de la capitale coréenne. L...
Les habitants d’un village qui sera bientôt englouti par les flots suite à la construction d’un barrage deviennent les victimes d’un escroc prénommé Choi. Se faisant passer pour un...
Anciens camarades de classe, Kyung-min, homme d’affaires d’une trentaine d’années, et Jong-suk, écrivain sans emploi, se retrouvent à l’occasion d’un repas. Ils se souviennent que ...
“ Un manque d'imagination que Sang-ho Yeon essaye de combler par la violence. Pas suffisant, d'autant que l'animation est de piètre qualité. ”— mathieuhuitric21 juin 2017
“ Fils vénère de Romero & Carpenter, Yeon Sang-Ho compense l'économie de moyens par la virulence de sa satire sociale, pessimiste à en crever. ”— WeOwnTheNight19 mars 2017
“ Un animé qui nous confirme que dans le cinéma de Yeon Sang-ho, les zombies ne sont jamais la plus grande menace. Thématiquement réussi. ”— TrueCine 8 avril 2017
“ Y Sang-ho dénonce l’individualisme d’un pays où chacun des passagers pense avant tout à son propre intérêt. Un film à ascenseur émotionnel. ”— thibaultl17 août 2016