Israéliens, politiquement (très) sulfureux: une sélection de films.
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Mettre le doigt là où ça fait mal, certains films savent très bien le faire, en appuyant très fort.
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(1981)de Amos Gitaï50m1 micro-critique | Sa note :
Attrianera
“ La tragédie vécue par les palestiniens résonne dans chaque seconde de cette œuvre israélienne. Implacable et inoubliable ” — Attrianera 24 mars 2019 -
(1998)de Amos Gitaï1h301 micro-critique | Sa note :
Attrianera
“ Arborescence intellectuelle rare intense. Amos Gitaï conjugue les différents points de vue avec la grammaire d'une certaine lucidité. ” — Attrianera 24 mars 2019 -
(2008)de Avi MograbiDocumentaire | 1h21
Attrianera
“ Z32 ou le curieux mélange de lucidité implacable et de chansons sarcastiques lourdes et maladroites. La grenade est à moitié dégoupillée. ” — Attrianera 26 février 2019 -
de Mor Loushy avec Amos OzDocumentaire | 1h245 micro-critiques | Sa note :
Attrianera
“ Une œuvre concise et sobre qui met en exergue des questions fondamentales sur l'identité israélienne, le sionisme et la culpabilité. ” — Attrianera 1 janvier 2019 -
(2012)de Dror Moreh avec Ami Ayalon, Avraham Shalom, Yaakov PeriDocumentaire | 1h35Synopsis : Les confessions de six anciens chefs du Shin Beth, le service de la sécurité intérieure d’Israël. Un film nominé aux Oscars, qui éclaire trente ans de lutte antiterroriste et d’errements face à la question palestinienne. -
(2012)de Sharon Bar-Ziv avec Asia Naifeld, Ohad Hall, Guy Kapulnik1h30
Attrianera
“ Mise en scène épurée, lumière clinique qui contrastent avec un discours brûlant, fracassant. Asia Naifeld est exceptionnelle. ” — Attrianera 10 septembre 2018 -
(2001)de Amos Gitaï avec Andrei Kashkar, Menachem Lang, Nikol VaromDrame | 1h40
Attrianera
“ Israël. Des victimes qui deviennent envahisseurs et créent de nouvelles victimes. Gitaï pose la question de l'identité de son pays sans fard ” — Attrianera 26 février 2018 -
(2008)de Ari Folman avec Ari Folman, Ron Ben-Yishai, Ori Sivan
Attrianera
“ Individu, mémoire et massacre. L'orange et le jaune se marient à la mort dans une poésie douloureuse et sensible. ” — Attrianera 15 décembre 2017 -
(2002)de Avi Mograbi avec Avi MograbiDrame | 1h12Synopsis : Avi Mograbi déteste le mois d’août. Il symbolise à ses yeux tout ce qu’il y a de plus insupportable en Israël. Au fil des 31 jours de ce mois quelconque, il sillonne les rues avec sa caméra et nous livre ses réflexions intérieures par le biais de scènes fictives, dans lesquelles il joue à la fois son propre rôle, celui de sa femme et celui du producteur d’un film qu’il prépare sur le massacre de musulmans par un colon israélien dans une mosquée à Hébron. -
de Avi Mograbi avec Avi MograbiDocumentaire | 1h40
Attrianera
“ Avi, la droite israélienne ne lui dit pas merci. Éclairage cru sur la persécution des palestiniens, dissection des contradictions. Une bombe ” — Attrianera 2 avril 2019 -
(2012)Documentaire | 1h37Synopsis : "Dans ce jardin je suis entré" fantasme un « ancien » Moyen-Orient, dans lequel les communautés n’étaient pas séparées par des frontières ethniques et religieuses, un Moyen-Orient dans lequel même les frontières métaphoriques n’avaient pas leur place. Dans l’aventure commune d’Ali et Avi, de ce voyage qu’ils entreprennent vers leurs histoires respectives dans une machine à remonter le temps née de leur amitié, le Moyen-Orient d’antan – celui dans lequel ils pourraient coexister sans efforts- refait surface avec une grande facilité. -
(1989)de Amos Gitaï avec Lisa Kreuzer, Vernon Dobtcheff, Rivka Neuman1h291 micro-critique | Sa note :
Attrianera
“ Sionisme, Palestine, Allemagne nazie. Entre poésie, onirisme et politique, Amos dessine en contrejour un requiem des illusions. ” — Attrianera 13 mai 2019 -
(1985)de Amos Gitaï avec Mohammad Bakri, Simone Benyamini, Juliano Mer1h453 micro-critiques | Sa note :
Attrianera
“ Esther a deux visages, dans la forme comme dans le fond: fragile et impitoyable, biblique et contemporain. Beauté gracile et percutante ” — Attrianera 26 mai 2019 -
(1992)16h581 micro-critique | Sa note :
Attrianera
“ Le film est à retenir pour le courage politique de son réalisateur et l'impériale Gila Almagor mais les personnages sont médiocres. ” — Attrianera 25 octobre 2020 -
(1982)de Amos Gitaï1h231 micro-critique | Sa note :
Attrianera
“ Des images des conséquences négatives pour les palestiniens de la politique israélienne du début des années 80, Amos dénonce sans analyser. ” — Attrianera 11 novembre 2019
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