Marcel Pagnol

Réalisateur, scénariste, acteur
Né à Aubagne (Bouches-du-Rhône) le 28 février 1895, mort le 18 avril 1974
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Biographie de Marcel Pagnol

Marcel Pagnol est le fils de Joseph Pagnol, instituteur laïc, utopiste et républicain, et d'Augustine Pauline Henriette La Brochette Lansot, couturière. Il est l'aîné de trois autres enfants : Paul, né en 1897, Germaine, née en 1902 et René, né en 1909. Un frère aîné, Maurice, né le 2 avril 1894 et décédé le 18 août de la même année, ne sera jamais mentionné dans l'histoire familiale. Marcel Pagnol écrira en Incipit de la Gloire de mon père « Je suis né dans la ville d'Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers ».
En 1897, le jeune ménage s'établit dans le logement de fonction de l'école de Saint-Loup. Lorsqu'elle allait au marché, sa mère le laissait dans la classe de son père, qui eut un jour la surprise de le voir lire couramment, alors qu'il n'avait pas cinq ans.
Puis, à la rentrée 1900, Joseph étant nommé « instituteur titulaire à l'école du Chemin des Chartreux, la plus grande école communale de Marseille », la famille emménage au 54 de l'avenue des Chartreux. En 1902, les Pagnol emménagent rue du Jardin des Plantes, puis rue Terrusse, dans ce « grand rez-de-chaussée, que complétait un sous-sol, éclairé, sur le derrière, par un petit jardin », où Marcel passera une grande partie de son enfance.
À partir de 1904, soucieux de la santé fragile d'Augustine, Joseph décide de louer pour les vacances une « villa dans la colline, juste au bord d'un désert de garrigue qui va d'Aubagne jusqu'à Aix ». Cette Bastide Neuve, située à la sortie du village de La Treille, à la périphérie de Marseille, et ses collines constitueront ce paradis de l'enfance heureuse où se déroulent les plus beaux épisodes de ses fameux Souvenirs d'enfance.
Reçu second à l'examen des bourses, il entre au lycée Thiers en 1905 où il poursuit de brillantes études, malgré une vie de demi-pensionnaire mouvementée, épopée savoureuse qu'il racontera dans les deux derniers tomes de Souvenirs (Le temps des secrets, Le temps des amours). C'est là qu'il commence à écrire des poèmes qui paraîtront à partir de 1910 dans la revue Massilia. Il a pour condisciple Albert Cohen avec lequel il se lie d'amitié.
Il n'a que 15 ans lorsqu'il perd sa mère, avec laquelle il entretenait une relation fusionnelle et quasi-oedipienne. Un coup de froid ayant aggravé sa fragilité pulmonaire, Augustine meurt « des suites d'une congestion » le 16 juin 1910, à l'âge de 36 ans. Elle sera inhumée au cimetière marseillais de Saint-Pierre, puis à La Treille. Joseph s'installe alors avec ses enfants au quatrième étage du 17 cours Lieutaud. Il se remarie en 1912 avec Madeleine Julien, qui n'a que huit ans de plus que Marcel et que ce dernier acceptera très mal, au point de se brouiller avec son père.
En 1913, à 18 ans, il obtient son baccalauréat de philosophie avec mention assez bien, et commence ses études de lettres à l'université d'Aix-en-Provence. Le 10 février 1914, il fonde, avec quelques copains de khâgne, la revue littéraire Fortunio (qui deviendra ensuite Les Cahiers du Sud), dans laquelle il publie quelques poèmes et son premier roman, Le Mariage de Peluque. Puis, la Première Guerre mondiale éclatant, il est mobilisé au 163e régiment d'infanterie de Nice en même temps que son ami « Lili des Bellons » (de son vrai nom, David Magnan), puis est réformé en janvier 1915 pour faiblesse de constitution.
Le 2 mars 1916, il épouse Simone Collin. En novembre de la même année, il obtient sa licence des lettres et littératures vivantes (Anglais). Nommé répétiteur d'anglais, il enseignera successivement aux collèges de Digne, Tarascon, Pamiers sur Ariège et Aix-en-Provence, avant d'être promu professeur adjoint au lycée Saint-Charles à Marseille de 1920 à 1922. Durant cette dernière année, il écrit deux drames en vers : Catulle puis, en collaboration avec Arno Charles Brun, Ulysse chez les Phéaciens.
Nommé professeur adjoint au lycée Condorcet de Paris, il y enseignera l'anglais jusqu'en 1927, où il décide de « prendre congé de l'Éducation nationale pour cause de littérature ». Dès son arrivée dans la capitale en 1922, Pagnol a la chance d'y retrouver Paul Nivoix, ancien directeur de l'hebdomadaire marseillais Spectator devenu rédacteur à Comoedia, « seul quotidien français des Lettres et des Arts ». Grâce à son amitié, Pagnol pénètre le milieu des jeunes écrivains et du théâtre moderne, « commence à douter de l'intérêt de ses tragédies grecques et romaines », se risque à signer en 1924, sous le pseudonyme de Castro, un vaudeville composé avec Nivoix : à son grand étonnement, Tonton (ou Joseph veut rester pur), remporte un petit succès au théâtre des Variétés, ce qui encourage les deux novices à persister et écrire leur première pièce de théâtre, Les Marchands de gloire. Représentée en 1925 au théâtre de la Madeleine, cette brillante satire du patriotisme est cependant boudée par le public, de même que sa deuxième pièce, Jazz, donnée en 1926 au théâtre des Arts. Mais Topaze, satire de l'arrivisme jouée au théâtre des Variétés en 1928 connaît un franc succès.
Exilé à Paris, la nostalgie l'incite à écrire une pièce marseillaise, son entourage l'en dissuade aussitôt. Mais en 1926, ayant vu jouer à Bruxelles Le Mariage de Mademoiselle Beulemans, il comprend « qu'une oeuvre locale, mais profondément sincère et authentique peut parfois prendre place dans le patrimoine littéraire d'un pays et plaire dans le monde entier ». Et c'est ainsi que le 9 mars 1929, Marius, pièce en quatre actes et six tableaux, est créée au théâtre de Paris avec Raimu dans le rôle de César. C'est le triomphe universel pour les deux provençaux exilés qui, tout en s'apportant mutuellement la gloire et la célébrité, se lieront à vie d'une amitié aussi orageuse que sincère.
Séparé de Simone Collin depuis 1926, il rencontre la jeune danseuse anglaise Kitty Murphy. De leur union naîtra Jacques Pagnol en 1930, qui deviendra son assistant après la guerre, puis caméraman pour France 3 Marseille.
Pagnol est né en 1895, l'année où, à quelques kilomètres de là, Auguste et Louis Lumière tournent l'Arrivée d'un train en gare de La Ciotat, premier film du cinématographe projeté publiquement. L'année 1929 est décisive pour sa carrière : il assiste à Londres à la projection d'un des premiers films parlants, The Broadway Melodies, et en est si bouleversé qu'il décide de se consacrer au cinéma parlant.
Il contacte aussitôt les studios Paramount Pictures pour faire adapter sa pièce Marius. Les producteurs décident d'en confier la réalisation à un metteur en scène anglais confirmé : Alexander Korda. Sorti le 10 octobre 1931, Marius est l'un des premiers films à succès du cinéma parlant français. Pressé par le public d'en écrire la suite, Fanny, pièce en trois actes et quatre tableaux, est créée sur scène en décembre 1931 au théâtre de Paris. C'est le deuxième volet de ce qui deviendra la célèbre trilogie marseillaise, dont l'action se passe dans l'ambiance légendaire du Bar de la Marine, sur le vieux port de Marseille. L'adaptation cinématographique, réalisée par Marc Allégret, sort le 2 novembre 1932.
Le 28 juillet 1932, son frère Paul, « le dernier chevrier des collines d'Allauch », qu'il va souvent visiter dans les collines ou ils ont passé leur enfance, meurt à l'âge de 34 ans. Souffrant du « haut mal » (grand mal épileptique), il s'éteint à l'hôpital de Courtrai (Belgique) après une opération de la dernière chance effectuée par le professeur Lowers. Il est inhumé dans le caveau de la famille Pagnol au petit cimetière de La Treille.
La même année, Marcel Pagnol fonde à Marseille sa propre société de production et ses studios de cinéma. C'est sur ce domaine de 24 hectares de garrigues, sorte de « Hollywood provençal », qu'il tourne désormais lui-même ses films. Son premier film en tant que réalisateur est Jofroi (1933), suivi d'Angèle en 1934, de Merlusse et de Cigalon en 1935, de César en 1936, de Regain en 1937, de La Femme du boulanger en 1938, etc. Il fait jouer les plus grands acteurs français de l'époque Louis Jouvet, Raimu, Pierre Fresnay, Fernandel, amis avec lesquels il joue à la pétanque entre deux scènes.
Il vit désormais avec Orane Demazis, qui incarnait tous les soirs le personnage de Fanny dans Marius et Fanny, et ils ont un fils en 1933, Jean-Pierre Pagnol. Puis, en 1936, Yvonne Pouperon, sa nouvelle collaboratrice des bureaux de la rue Fortuny à Paris, met au monde une fille, Francine Pagnol. C'est l'année où il fonde la revue Les Cahiers du film, avant de diriger sa propre maison d'édition en 1937.
En 1941, pour réaliser son « ambition de construire, sous le ciel de Provence, la Cité du Cinéma », il fait, sans l'avoir vu, l'acquisition du château de la Buzine avec quelques hectares de prairies au bord du canal. C'est en visitant son domaine huit jours plus tard, qu'il reconnait « l'affreux château, celui de la peur de ma mère » (Le Château de ma mère). Mais la Seconde Guerre mondiale fait rage ; Pagnol doit interrompre ses tournages et vendre ses studios à la Gaumont, tout en restant directeur de production. Ceci lui permet de se dérober aux pressions d'Alfred Greven, président de la Continentale (société de production française à capitaux allemands), qui veut lui faire réaliser du cinéma de propagande nazie. Son dernier film tourné pendant la guerre La Prière aux étoiles reste inachevé et, pour garder la maîtrise de son oeuvre, Pagnol détruit la pellicule du film.
Le divorce d'avec Simone Collin à peine prononcé, Marcel vit avec l'actrice Josette Day, rencontrée en janvier 1939. Leur liaison ne dure que le temps de leur refuge en zone libre, jusqu'à la fin de la guerre. Il acquiert en 1942 le domaine de l'Étoile à La Gaude, où il réemploie le personnel de ses studios comme ouvriers horticoles pour la culture d'oeillets afin de leur éviter le Service du travail obligatoire en Allemagne. Cette reconversion spectaculaire inspira à Raimu la tirade suivante : « Si Marcel devient fleuriste, alors moi, je n'ai plus qu'à aller vendre des rascasses ! ».
En 1944, Pagnol est élu président de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques, ainsi que du comité d'épuration, où siégeait une soixantaine d'intellectuels comme Louis Aragon, Paul Éluard, François Mauriac, Georges Duhamel, Paul Valéry, Albert Camus, Pierre Seghers, Jean-Paul Sartre, etc.
En 1945, il épouse l'actrice Jacqueline Bouvier, rencontrée en août 1938, qui sera jusqu'à sa mort son « brin de poésie et de tendresse ». Elle tournera dans cinq de ses films et lui donnera deux enfants, Frédéric en 1946 et Estelle en 1949.
Âgé de 51 ans, il est, avec Paul Claudel, Maurice Garçon, Charles de Chambrun, Jules Romains et Henri Mondor, une des six personnes élues le 4 avril 1946 à l'Académie française lors de la deuxième élection groupée de cette année visant à combler les très nombreuses places vacantes laissées par la période de l'Occupation. Il y remplace Maurice Donnay au 25e fauteuil. Il est reçu le 27 mars 1947 par Jérôme Tharaud à ce fauteuil qu'occupa jadis Prosper Mérimée.
En 1951, fortuné et poursuivi par le fisc, il s'installe à Monte-Carlo dans une somptueuse villa du XIXe siècle en bord de mer, La Lestra, auprès de son admirateur et ami le prince Rainier III de Monaco. À la mort de sa fille Estelle, âgée de deux ans, il fuira l'endroit en 1954 pour revenir à Paris dans un hôtel particulier au square de l'Avenue du Bois, sur l'avenue Foch, se rapprochant de ses bureaux de la rue Fortuny.
En 1955, à 60 ans, Marcel Pagnol préside le 8eFestival du Film de Cannes. Il fait également jouer au festival d'Angers sa traduction d'Hamlet de William Shakespeare (avec Jacqueline Pagnol et Serge Reggiani). Puis, le 6 octobre, il fait donner au théâtre de Paris sa tragédie en cinq actes Judas. L'éclairage nouveau, voire d'avant-garde, du personnage, tant il se rapproche de l'Évangile de Judas, est mal perçu par l'ensemble des confessions. L'accueil tout aussi froid réservé à Fabien, comédie en quatre actes qui sortira quelques mois plus tard, inciteront Pagnol à mettre un terme à son activité d'auteur dramatique, comme il l'avait déjà fait pour sa carrière de cinéaste.
Mais une fois de plus, le meilleur est devant lui. Un romancier de grande envergure s'annonce, pour transporter ses nouveaux lecteurs au pays magique de l'enfance. À partir de 1957, il commence la rédaction romancée de ses Souvenirs d'enfance avec La Gloire de mon père, qui connaîtra un immense succès, dû entre autres à la façon dont Pagnol décrit les personnes qui lui sont chères dans le petit monde provençal qui l'entoure, et à la vivacité de ses souvenirs, embellis par le temps et l'imagination. La suite en sera donnée la même année dans Le Château de ma mère, puis dans Le Temps des secrets en 1960 et Le Temps des amours qui, inachevé, ne sera publié qu'en 1977, trois ans après sa mort. Il publie ensuite L'Eau des collines, roman en deux tomes intitulés Jean de Florette et Manon des Sources en 1962.
Mais déjà, une nouvelle activité accapare toute son énergie : la recherche historique. Dans les années 1960, Marcel, depuis toujours passionné d'histoire, se plonge dans l'énigme de L'homme au masque de fer, persuadé que cette oeuvre le fera passer à la postérité. Le Masque de fer, édité en 1964, puis remanié en 1973 sous le titre Le Secret du Masque de fer, reste pourtant méconnu du public.
Pagnol a dit : « Si j'avais été peintre, je n'aurais fait que des portraits ». Peintre de la nature humaine, précurseur du portrait psychologique et de la valorisation de la culture régionale et provençale, il a légué à la postérité des portraits merveilleusement vivants des personnages de son enfance. Auteur comblé, il reçut tous les honneurs de son vivant : le succès, l'argent, la gloire, la reconnaissance des siens, et l'élection à l'Académie française.
Marcel Pagnol meurt le 18 avril 1974, à l'âge de 79 ans, au square de l'avenue du Bois à Paris. Son corps repose au cimetière marseillais de La Treille, au pied des collines provençales de son enfance, auprès de sa mère et de sa dernière fille Estelle, non loin du caveau de la famille Pagnol où reposent son père et sa seconde femme, ses frères et soeur et leur famille. Sur sa tombe, en guise d'épitaphe, une citation de Virgile :
  • 1889 Nomination de son père, Joseph Pagnol, au poste d'instituteur public à Aubagne.
  • 1893 Joseph épouse Pauline Henriette (dite Augustine) Lansot, le 28 décembre.
  • 1894 Naissance de Maurice le 2 avril à Aubagne. Décès de celui-ci le 18 août à Aubagne.
  • 1895 Naissance de Marcel Pagnol le 28 février, au numéro 16 du cours Barthélemy à Aubagne.
  • 1897 Installation de la famille à Saint-Loup (Marseille).
  • 1898 Naissance de son frère, Paul (le Petit Paul) le 28 avril à Marseille (Saint-Loup).
  • 1900 Déménagement à Marseille où Joseph est nommé à l'école des Chartreux.
  • 1902 Naissance de sa soeur, Germaine le 2 février à Marseille (54 chemin des Chartreux).
  • 1904 Premières vacances à la Bastide Neuve.
  • 1905 Élève au lycée Thiers à Marseille.
  • 1909 Naissance de son frère cadet, René.
  • 1910 Mort de sa mère, Augustine. Premiers poèmes dans la revue Massilia.
  • 1913 Marcel obtient le baccalauréat de philosophie avec mention assez bien.
  • 1914 Fonde la revue littéraire Fortunio. Mobilisé à Nice, puis réformé pour faiblesse de constitution.
  • 1915 Répétiteur au collège de Digne, puis de Tarascon.
  • 1916 Mariage le 2 mars avec Simone Collin. Obtient la licence de Langues et Littérature Vivantes.
  • 1917 Répétiteur d'anglais au collège de Pamiers sur Ariège, puis au lycée Mignet d'Aix-en-Provence.
  • 1918 Décès de « Lili des Bellons » (David Magnan) le 23 juillet à Vrigny (Marne).
  • 1920 Professeur-adjoint au lycée Saint-Charles à Marseille. Catulle, drame en vers.
  • 1922 Professeur-adjoint d'anglais au lycée Condorcet à Paris.
  • 1923 Rencontre d'Orane Demazis à Paris, pour qui il créera ensuite le rôle de Fanny.
  • 1926 Séparation d'avec Simone (le divorce ne sera prononcé qu'en 1941).
  • 1930 Rencontre de Kitty Murphy, jeune danseuse anglaise, à Paris.
  • 1930 Naissance de Jacques Pagnol, qui fut son assistant après la guerre, puis cameraman pour France 3 Marseille.
  • 1932 Décès de son frère, Paul Pagnol, à l'hôpital de Courtrai (Belgique) le 28 juillet.
  • 1933 Naissance de son fils Jean-Pierre, qu'il à eu avec Orane Demazis.
  • 1935 Rencontre d'Yvonne Pouperon, sa collaboratrice dans les bureaux de la rue Fortuny.
  • 1936 Naissance de sa fille Francine, qu'il à eu avec Yvonne Pouperon.
  • 1938 Rencontre de Jacqueline Bouvier en août, qui n'entrera dans sa vie qu'en 1944.
  • 1939 Rencontre en janvier de Josette Day. Leur liaison dure le temps de leur refuge en zone libre, à Marseille, puis à la Gaude.
  • 1941 Le divorce d'avec Simone Colin est prononcé. Acquisition du château de la Buzine.
  • 1944 Retiré dans la Sarthe avec Jacqueline Bouvier en attendant le débarquement allié.
  • 1945 Mariage avec Jacqueline Bouvier.
  • 1946 Naissance de leur fils, Frédéric. Le 27 mars, Marcel Pagnol est reçu au fauteuil 25 de l'Académie française.
  • 1951 Naissance de leur fille, Estelle. Le 15 novembre, mort de son père, Joseph Pagnol.
  • 1954 Mort de leur fille, Estelle, des suites d'une crise d'acétonémie.
  • 1974 Mort de Marcel Pagnol à Paris le 18 avril.

Filmographie de Marcel Pagnol

  • 1
    Les Trésors de Marcel Pagnol
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  • 7
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    (1951)
    un film de Marcel Pagnol
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  • 9
    La Belle Meuniere
    un film de Marcel Pagnol
    Franz Schubert, découragé, quitte la ville. Suivant en chantant un torrent où il puise son inspiration, il arrive près d'un moulin. La ravissante fille du meunier attire son regard...
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  • 10
    Naïs
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    1h57
    Ma note :

Avis sur les films de Marcel Pagnol

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